i will wait for you- connie francis

j'envois de la guimauve a tshaka pour egayer sa solitude <br />

je t'aime melancolie

Siouplay quand les modos vous prient d'arrêter le flood dans les parties sérieuses du forum, <br />on arrête de faire les garnements illico <br />merci <br />

-quai des brumes-

les las m'en teint  ont limé le forum

im columbiaaaaaaaaaaaa (j'ai pas une voix si stridente que ça!!!)

et celiate elle a tout géré!!<br /><br />a la question quel personnage es tu:<br />dorothy pour le magicien d'oz <br />et columbia pour le rocky horror <br /><br /><br />ahhaha <br />la groupie du mort '(tout parallèle entre la petite Atala et l'ours depressif serait fort mal à propos )

les casses couilllllllllllllllles!!! <br />huhu

bah c'est la pochette de l'album

mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmh l'extase , no mp <br />quelque chose me dit que ça va pas durer !

affiche à charles de gaule etoile (dans le micro couloir qui relie la ligne 1 au rer A) enfin une affiche dans un micro couloir quoi

I know en plus c'est moi qui l'ai traduit <br /><br />(je vais rebidouiller )

ouf simo is online <br /><br />

ce soir j'ai mangé de la bière et des clopes... <br />damned...vilaine fille!

take a beer for the ride, <br />and let's killing the ducks !

[quote author=Tanguy link=topic=2643.msg101855#msg101855 date=1237757344]<br />On devrait de lapider rien que pour ça "It's four in the morning..."<br /><br />Sinon j'ai le même avis que toi sur la chanson, celle que j'aime le moins pour l'instant après "your leather jacket" mais plus je l'écoute et moins je la déteste pourtant..<br />[/quote]<br />faute de frappe corrigée<br /><br />ich bin desolay

si j'etais un mec ( et qu'accessoirement j'etais rock star ) <br />j'aurai choisi soit sylvain sanglier, soit john stargasm <br />comme nom de scène. <br />Voilà c'est dit .<br /><br /><br /> :grimace:

<br />Pill for the ride :<br /><br /> Bad trip pesant, langoureux, avec une étrange sensation de proximité confortée par le choix des percussions. Une mise en bouche délicieusement grunge. <br />“Heart drowning i'm not crying messing around in the backyard just trying to find out who i am”.  Un texte qui reprend donc le thème du dérapage, de la dérive abjecte de l’être comme voyage initiatique .<br />  Ambiance acide, miroirs sur le sol, où se succèdent de cruelles insomnies. Une proximité violente donc… « Nobody like you said ever missed me”<br />  Des remarques piquantes…un véritable règlement de compte (on ne change pas une équipe qui gagne) qui vient parfaire une virée nocturne où surgissent certains regrets :  « I miss you, Sometimes, and all the people and all the crap …you are nothing more than name on a map, so far”, phrase qui introduit dejà le vagabondage amoureux du VLP.<br />    De ce naufrage presque paisible nait un constat bien amer « I hoped you'd be happy more than your dog would be »…dure réalité pour notre héros : si la belle s’est faite la malle, ce n’est pas tant pour se rapprocher du bonheur que pour le fuir lui, ce montre d’égoisme qui précipite dans son malheur tout ceux qui l’approchent…<br />Jeu de percussions.  <br />Silence.<br />On reprend sa respiration <br />Ça repart en apnée…<br />“heart drowning suffocating your face reminds me i am still breathing and losing the rest of who i am” .  Il est temps de mettre fin au petit jeu malsain des deux amants. « Sometimes i feel like ending the dirty game we keep playing”, tout est encore une question d’origine des symétries… :grimace:<br />

<br />” You make me sick <br />Because I adore you so<br />I love all the dirty tricks<br />And twisted games you play <br />On me”<br />(OOS, Muse)
<br /> Du dégoût de l’autre émerge une lassitude profonde… le désir de poursuivre le carnage… <br />de pousser l’ennui jusqu’à l’extrême…<br /> “I won't stop untill i find the place the place where i can drop”<br />Les voix se dédoublent, se multiplient…il ne reste plus qu’à trouver le point de chute …<br />Another one rock’n roll suicide…"and a pill for the ride"<br />

désolée pour les fans absolus de la chanson qui suit...mais c'est pour moi la plus grosse déception de l'album...elle faisait partie de mes préférées des sessions du bataclan. Ceci ne reste qu'un avis parmi tant d'autres...  <br /><br /><br />Is it ok : <br /><br /> Ambiance vaporeuse, mystérieuse à la Marta « on etait volatiles, je ne savais pas… ». <br /> Une respiration féminine, incroyablement sensuelle, qui vient marteler un texte sobre et d’une pudeur incroyable… « is it ok ? is it what you want ? » Un début fichtrement mélancolique encore une fois…<br /><br />   Premier dérapage à la 54ème seconde, une boîte à rythme dégueulasse, un truc de lover boysbandesque totalement superflu, vient prendre en otage toute la chanson. Ca commence à refouler la jeune fille en fleurs et les chemises à jabot tout ça…<br />   On garde la tête hors de l’eau en se concentrant sur le texte, d’une tristesse grave et dérisoire, et surtout sur cette ligne de piano tout simplement magnifique. <br />   2min 06, Iceberg droit devant,  c’est la fin du monde, y a le feu au radeau et le Titanic qui fait lamentablement naufrage sur fond de lamentations à la voix caribou…  Y a même l’orchestre qui entame Nearer my God to thee d’un air affligé sur le pont…<br />      Cette piste  marque le  retour éprouvant à l’excès, la bête est égorgée à même le sol, elle a baissé sa garde et montre sa vraie nature au coeur de l'agonie. Et toujours ces promesses insensées en travers de la plaie... <br /><br />      Tutain y a même des wouhahouhahanhannnnnnnnnn à la fin…un peu décevant… On en ressort comme une biche aveuglée par les phares d’une voiture…De belles promesses au Bataclan, et une version studio qui manque de couilles testostérone et de mesure…too bad pour un si beau texte…(c’est comme « la trace au derrière de soi… », les pauses mojitos elles se font décidement jamais au bon moment en studio…)  <br />   

<br />ayéééééé j'ai mis mon casque vous pouvez envoyer les cailloux!!
!

A lovers prayer :

<br />   Chapitre 8 : le déni
<br /><br /> Piste largement introduite par The Ghosts Downtown, « I know I can shout, can you hear me “. C’est le temps des promesses absurdes. Une voix calme, sans artifice,  appuyée par un accompagnement sobre et contenu à la guitare. Un air qui n’est pas sans rappeler l’atmosphère un peu naïve de Suzanne…ou même de cette autre lettre de Leonard Cohen « it’s four in the morning, the end of december… ».<br />  Un texte pauvre et presque sans aucune imagination…qui est à l’image même de toutes les promesses chères aux cœurs des amants… On se jure de changer, de renverser le monde pour l’être aimé, on se perd dans un marchandage ridicule. <br />  L’attitude est sauvagement ancrée dans le déni, dans la suite logique du Yellow Tricycle… « Tout est encore possible, tout est à refaire… » <br />  On peut le voir aussi comme une sorte de transfert, où ces promesses douteuses viendraient étayer les attentes surréalistes de notre héros concernant l’amour…le désir égoïste de faire pour l’autre ce que l’on aurait voulu  avoir pour soi… « I’ll be the peace when you get mad ». <br />Encore et encore des reproches détournées, piste en miroir donc…<br /> Peu importe. Le fait est qu’on ne change pas, que personne n’est assez cogné pour croire à de telles promesses, pas même celui qui les fait . Tout ça c’est pieces of crap et armées de bollocks…on le sait bien.   <br /> Lover, you should have come over, rien ne sert de prier les absents.<br />

Il est cinq heures, je mange le gateau d'anniversaire de ma soeur chocolatblanc/ framboises-macaron  tout en ecoutant du joe dassin a fond les ballons....si ça c'est pas être decadenttttttttttt!

journée de suture d'examen gyneco et de sauvetage de mannequin en plastique Vs the defibrillator<br />ça pue les pieds de cochon!!!

y a lolita qui commence sur TCM, dis tu regardes avec moi?

trouvé sur VDM<br />

Aujourd'hui, j'ai appris à faire du vélo avec les deux petites roues à l'arrière. J'ai 32 ans. VDM
<br /><br /><br /><br />ça vous rappelle pas quelqu'un ?

y en a qui s'amusent..;et qui ont des idées chelou  <br />


http://www.youtube.com/watch?v=6U-P9z0bmo8&feature=related

j'ai froid <br />je dois aller chercher mon cable ethernet<br />il m'enerve <br />pourquoi il dit des trucs pareils <br />ça me depasse <br />ça me donne envie de killing the ducks <br />demain journee suture<br />et p*** c'est qui le connard qui m'a jamais rendu mon DVD de las vegas parano ? <br />suxxxxxxxxxxxxxxxx<br />

Ghost downtown : <br />    <br />     Toujours de belles références, l’ombre de Jeff Buckley qui émerge tranquillement des eaux boueuses du Mississipi, « lost myself today…like I used to… », un autre dream brother de désespoir… Et puis non , en fait ce sera carrément autre chose que du Buckley. <br />     Des arrangements pesants qui font un peu penser à l’ambiance quasi religieuse de l’Ok Computer .Quelque chose de figé entre la défonce et le mystique. <br />     Une voix fantomatique, diaphane qui survole une atmosphère irrespirable.  Les images se confondent, se succèdent, ça parle d’errance, de paradis artificiels toujours… « I’ll find my way », puisqu’il faut bien y arriver tout seul…<br />    Une chanson plus que résignée où la haine a fait place à l’ennui… « you don’t know how sick I feel, just like a dog left in the rain.”<br />    L’image familière du feu au radeau, encore un truc dans la lignée d’A bout de souffle, -souviens toi, les cœur en cimetières…on était déjà pas loin…-.<br />    Une supplique douce, posée… et toujours cette fascination morbide, neurasthénique à la Tom Yorke… <br />     Et puis ces fantômes qui vous rattrapent, de ces fantômes que l’on transporte partout où l’on va, qui vous tournent autour, qui vous rappelent au fond des verres de vin, qui vous amènent aux frontières de la folie…<br />      On retrouve donc ce corps à la dérive, ce corps sans âme, -le cavalier sans tête-, qui se raccroche à tout ce qu’il trouve « memories of you », des miettes d’espoir jetées dans le ventre de la cité…Une lovers prayer sombre, douloureuse … « Mieux vaut mourir de mort que de mourir d’amour … »<br />

c'était dur de dormir sur ma bosse<br /><br /><br />ahh j'ai franchis la moitié de lalbum