Je ne parlais pas du mannequin sur la pochette ou le clip.
Je parlais du symbole de la fausse marilyne de la pochette,
pour moi c'est une chanson divisée entre l'amour de la nymphette "Lula" et le dégoût de ce qu'elle représente, de ce déballage permanent de cuisses et de nichonaille...
Le narrateur a eu envie d'elle pour ça,
et ça lui éclate en pleine figure pour les mêmes raisons...
elle se barre dans les bras de n'importe qui,
parade devant les objectifs de manière subjective comme elle le ferait sur n'importe quel trottoir de Paris,
et avec elle c'est toujours la même chose,
c'est comme un animal,
une petite Mélody Nelson qui elle est loin d'ignorer la débâcle qu'elle engendre sur son passage,
une de ces pouffiasses électriques et hypnotisantes qui peuplent les coins sombres des samedi soirs,
la gorge nue
et le regard noir...
Lula elle les rend tous dingues à force...
à force de prendre ses airs de biche abbattue,
à force de faire sa turlupétasse qui joue avec le feu,
à force de crier au loup,
dans son caddie à la con,
pour se barrer avec le premier connard venu,
qui passe en jaguar.
Putain si je te trouuuuuuve....
Lula quoi ....
un docu-fiction en somme 
(non ? )