Arf =/

Pour ma part, j'espère qu'il parlera encore un peu de la mer et des vagues qui se jettent à quai ...

Mais oui, sinon, de la nouveauté, il y en aura surement, comme à chaque fois

Je n'arriverai jamais, je pense, à comprendre toute la complexité de ton être

Ceci étant dit, je vais retourner lire desinvolt, histoire de me faire une idée plus construite.

Puis arrêter de troller ici. (même si c'est drôle ... vous voyez, quand c'est écrit entre parenthèse ? Argh, Merdum!!)

Ok, j'ai compris '

Beh ouay.... Nan ...

Zut !

Bah ... Perso, je n'attends pas le retour de Jésus ... Du tout.


Par contre, celui de Saez, ouais, pourquoi pas.

Son travail est construit, et évolué selon sa propre évolution qui à chaque fois fait ressentir quelque chose. Alors j'ai envie de savoir ce qu'il va faire ressentir, cette fois.

Jesus, lui, il fera ressentir la même chose que les fois précédentes. Du coup, je m'en fiche un peu.

Donc ouais, d'accord avec Elea

Je ne sais pas si c'est un compliment ou une insulte =/

Je ne connais pas. Je suis allé voir du coup. Des gens qui essaient de faire pro. Moi, non, pô du tout. Du coup je ne sais vraiment pas '

J'aime la couleur de ton âme <3

Ah, fort bien, c'est donc toi qui as fait ça ? Cool !

Je vais copier coller ce que je viens de dire à des potes pour présenter ces paroles:

L'allité est très bien travaillé, le son est coupé, travaillé on le sent, on a juste des coupes sur peu de syllabes, mais c'est apparemment la mode. En tous les cas, la mélodie est là, à certains moments, une mélodie coupée, mais c'est parlé, c'est exprimé et refléchi.

Mais bon, si c'est toi, je vais essayer d'être plus travaillé ...
Toute la construction de ce travail va vers le texte, accompagné d'une mélodie trop peu travaillé. OR, la mélodie est importante. Non ? Enfin, quand j'écoute les textes vraiment bien travaillés, j'ai envie de penser qu'elle mérite une mélodie plus travaillée que des notes qui se suivent. Mais clairement, il y a un potentiel, une envie de faire passer un message, un travail sur les paroles, les proses. Plus que IAM, il y a aussi du MC Solaar, enfin c'est ce que j'entends, mais je ne connais pas ce style assez bien pour en déblatérer des heures. Mais il faut que j'écoute plus.

Il y a une construction, même dans la vocalise, et même si elle reste simple, et même si la musique en arrière reste assez pauvre, les paroles quant à elle, sont jolies.
Il y a l'envie de faire passer un message. La question est, à qui faire passer le message ?

C'est très intéressant en tous les cas.
Bravo pour le travail

http://www.rfi.fr/emission/20160519-une-une-jeunes-filles-chibok-liberee

Ca m'embête un peu :x ... Pour plusieurs raisons.

1. Déjà, est-ce que la barbarie a eu vent que dans la vie on évite de dépasser le bord des limites ?

2. Je ne suis pas vachement l'actualité, dans les journaux, la télé, toussa. Mais autour de moi, j'ai eu vent du président qui achetait des baguettes, tandis qu'un autre a eu des soucis avec des pains au chocolat, bien sûr le terrorisme, les attentats, j'ai eu des nouveautés sur un tas de séries, les élections aux Etats Unis, enfin bref, des histoires dans le monde.

Ce truc date de 2014... Sur 2 ans, je n'en ai pas entendu parlé, du tout, ni une seule fois. Je vis tant que ça comme un ermite ? .... Du coup, ça me fait un peu bader, surtout quand on voit ce qui y est fait.

Bref, je suis chafouin!



Non, je ne pense pas. Perso. :x

Eoline, je t'aime bien

Pour ce que tu es

L'information, est une intoxication.
Elle vit de nos peurs et nos drames,

Elle nous fait croire être une Dame,
Or nous vivons tous pour le plaisir, la passion,

Et pour qu'un jour on oublie notre non.
Je suis versé par les anges et leurs cris,
Puis je l'ai vu elle, cette Dame rouge qui interpelle !
Je deviens zombie et ne puis citer son nom.

Mais je souhaite simplement
Que sa vie bouscule au firmament.

Ouais ... Ca deviendrait assez contre productif, mais pourquoi pas, pour ton bien, toussa :x

Sur les 4 canapés, seul un est à moi, les autres on me les a refilé car pas de places chez eux. Puis ils les ont abandonné. Du coup, j'ai un méga salon pour se réhydrater.
Mais du coup oui, chez moi c'est grand. Ca va me changer, Paris

++ Ca vaut le coup <3

J'ai pensé au coude levé. Quoi qu'il en soit, il se lèvera, c'est indéniable, c'est la fatalité !

Cool, des apéros philos, ça vend du rêve cette idée <3

+++ J'ai un job sur Paris <3
+++ Début du poste le 23 mai <3

-- C'est un bordel sans nom chez moi, avec 4 canapés, 2 fauteuils, 2 tables basses, 3 cages à hamster, un vélo d'appartement, et quelques meubles en tout genre trop abîmés .... Il faut que je vire tout ça

+++ La coloc' approche à grand pas <3

Enfin, si le coeur t'en dit de croiser un autre saezien :3

Voui, Alizée, je trouve ton idée des plus pertinentes ! On la garde sous le coude

C'qui le philosophe ?

"Et quel est le message diplomatique que je dois leur apporter ?

- Alors le message est .... .... .... coucou !"

Ah, je croyais mais non, du coup, au temps pour moi...

BON ANNIVERSAIIIIIIIIRE !!!
Profite bien de l'existence qui s'enfuit, qui nous sourit autant qu'on la vit.


Et bien joué pour les 2 ans, si j'ai bien suivi.
J'espère que vous avez fait autant les dingues qu'à la première année :3

Bon, juste cette fois, des bisous à vous <3

Si ça peut te rassurer, c'est en deux parties.

C'est trop long. Plus la nuit est blanche et plus je m'égare

Je m'en vais en délire sur d'autres rives, et les pensées en moi chavirent, je me sens à la dérive, vers les plaisirs de cette chère qui m'envole vers son esprit.

Je me questionne et m'interpelle, oserais-je sa paire d'ailes pour apprécier ses ailes ? Mais de quoi parle-t-on déjà, et pourquoi ne dormé-je pas ? L'envie ou la folie, voilà bien les moteurs encrassant mes pensée, me faisant délirer vers des plaisirs d'infiniment, à travers son vivant.

Ouais, ce serait bien que je me souvienne de comment dormir aussi

Les jours saints sont d'une rareté,
Ces moments simples qui me font penser
Qu'un jour j'ai pu, et j'ai su aimer
Aussi simplement que les oiseaux savent chanter.

La beauté du monde surplombe ces instants,
Je suis dans la vie, dans le beau, dans le moment
Quand je m'égare à aimer ce qui fait vivre la vie,
Et pourtant jamais, face à eux, je me sens épanouie.

La dureté du temps ne s'absente quand on grandit.
J'ai beau revenir au moins dans mes souvenirs
Sur un univers infini en un éternel de mouvement,
Je finis toujours par oublier son sourire,

A ma mère.
Elle tendre maman, et moi dans ses tourments,
Je me souviens de son parfum quand elle me bordait.
Se souvient-elle comme, à tout instant, je l'aimais,
Dans le moindre câlin, que j'aimais infiniment ?

J'ai su survivre, et vivre après ce passé de terreur,
J'ai pu goûter par plusieurs fois, ce qu'on appelle bonheur
Quand quelqu'un nous sourit, quand cet autre nous fait vivre la vie.
Mais de vivre j'en ai perdu le sentiment, quand leurs trahisons m'ont meurtris.

Je ne peux, aujourd'hui, croire en l'autre qui m'a tant fait misère,
Aujourd'hui encore, tous ces instants sont ouverts.

Mais je ne veux pas croire en la vie ainsi.
Elle m'a fait femme, elle m'a fait ce que je suis.
Et je me sens bien, je me sens complètement moi
Si seulement quelqu'un comprenait mon émoi.

La vie a endurcit mes veines,
Et qu'importe l'horreur ou la peine
Qu'on tente d'insuffler à ma vie,
Je reste forte, et à leur bêtise je souris.

Je reste moi, je reste infinie,
Comme infinie est la beauté,
Du soleil, de la vie, de ceux qui savent aimer.

Je vois le soleil, je vois son envie,
Jamais je ne pense le faire souffrir.
Alors j'imagine son fabuleux sourire

Qui me fait vivre bien. Oui, je suis bien
Quand j'ouvre les yeux, au petit matin,
Quand je me perds dans mes pensées
M'imaginant tout ce que le bien
De chacun pourrait finalement apporter.
Je me sens bien quand la vie ose aimer,
Et j'ose aimer quand la vie s'en vient
A aimer.

----

Ce n'est pas, ce n'est plus moi. Ce texte parle de quelqu'un d'autre et j'ai le palpitant arraché des entrailles pour me voir affublé de tels sentiments. Je reste une charogne sans trop peu de vies, je reste cette bestiole qui vous voit, vous, en belle vie. Je resterai cette vilaine, celle qui fera Fi, et ne pourra vivre quand lui sourit la vie.

Oui, je reste l'immonde chose
Qui s'enivre de proses,
Batifolant sous la lune,
Vide d'espoir et de rancunes,
Je vais vivre juste heureux,
Bien que tu sois bien, car je ne peux
Etre cet amour scandaleux
Qui te fera vivre et rire,
Enfin, qui te fera sourire
Durant quelques années.
Non, je resterai là, caché,
Finissant par aimer même
Ces chaines que je hais et que j'aime.

L'azur inonde mes yeux,
Et les éclairs en les cieux
Apporte un brin de vie
Dans les restes de mon esprit.

Oui, je suis une crapule,
Et l'étendard sans lendemain.
Fait de moi immonde en le crépuscule
Que vous admirerez sans tourment.

Je puis continuer ainsi,
Vous écrire toute la nuit,
De ma vie qui aime la folie
Et évite l'ennui.
Oui, je peux vous montrer
Le rose de ma prose dévouée
A rendre l'âme et les armes.
Et les larmes que je damne
en moi, s'accapare de tout drame
Au delà des récits que condamne
Vos pensées qui veulent la vie.

Au loin, bien loin des quais,
Je te vois toi, que j'ai tant aimé,
Je te vois sourire aux lèvres et
Je crève par les pleurs, puis satisfait,
Je crois que j'en viens à t'aimer.
A t'aimer ouais comme on peut y croire
A ces sortilèges qui donnent l'espoir.

Je finis par penser toi
Puis ne penser plus rien,
Je rêve qu'au creux de toi,
Il y ait moi qui t'apporte du bien.
Mais t'es loin là-bas, déjà tu ne réponds pas,
Tu es là crevant mon coeur en émoi.
Et moi qu'auras-tu fait de ça,
Cette chair insolente qui aura aimé ta vie
Comme on aime l'enfer ou bien l'ennui,
Comme on croit Marie quand elle nous dit
Que tout le fardeau bientôt sera fini.

Je crois pas en ces statuts
Nan, je crois pas en vous qui aurez cru
Qu'il fallait de sa chair juste s'enchainer
Par le fer et se laisser déchainer
Par amour pour un Dieu qui s'en fout bien
Qu'on l'aime comme un damné, ou rien,
Comme moi j'ai su t'aimer toi, comme j'ai su exister
Quand t'as fait de moi la charogne aux lèvres saignés.

Et je souris quand même,
Je souris comme je t'aime.
Je vis, je maudis, puis tu souris,
J'attends plus rien de toi, ou de lui,
Je veux juste que toi,
Qu'un jour tu me souris.
Je veux juste qu'un jour moi,
Ouais je veux te rendre ravie.

...

Bon, message long.
Je reviens bientôt.
Bonuit.

Si ça peut te rassurer, je me sens mal aussi, le bidon en vrac qui fait une symphonique rhapsodique mais qui se termine mélodieuse.

Bon c'est pas l'heure de tergiverser, pas ici. Je vais finir sur le topic insomnie, avec une ambiance délirante, comme d'habitude.

Une mama africaine ?

Pendant ce temps, au bureau ...

Je pense à vous <3


*vomis des paillettes et des arc-en-cieux*

Je suis dans une marde noire !!!

Je viens de lire les postes/trollages/blagues de Kaio ... me rends compte que ça me manquait =/

+++ Il pleut des cordes dans la têtes des prisonnières. Mais m'en fou, j'vais arriver à Paris!

++ En plus, là, il fait vachement beau, du coup trajet du boulot matin et soir à vélo avec plaisir et entrain.

++ Si quelqu'un a des tuyaux concernant des apparts a des taux vraiment pas dégueulasses, n'hésitez pas :3

++++ Coloc' <3 (avec une non GCDM)

Le point de vue de Suzie la-dessus présentait un doux rapport poétique et sensé, je trouve

J'aurais aimé y être, ça devait être très intéressant.

Le beau quand on aime voir paraître le plaisir et le sourire sur le visage qu'on aime voir heureux. Le moment intense quand il se renforce et se surpasse, et que nous devenons comme lui, plus fort, plus intense dans le moment, plus heureux de vivre le présent, quel que soit son humeur.
Le terrible intense, lorsque nos vies ne s'échappent que pour voir ailleurs, et pour profiter de l'amour, de la vie, de l'être de chaque un ...

...

+/- je ne sais pas .... Pour rester dans le thème du forum.
Je ne faisais que passer, désolé