Mais c'est chaud les gens comme ça, faut les virer direct.
@"julchana3"


Roh banion, il faut pas virer les gens, même es étranges, les bizarres ou ceux qui sortent des cases, sinon il faudrait virer Saez, ce serait sacrément dommage

Chacun est nécessaire et beau

Qu'est-ce que je voulais dire sinon ?
J'en sais rien

Je m'éventre sur sa vie,
Je me vide de mon cri
Ma carcasse s'essuie
Sur le sol maudit
De mes mots incendies,
Que j'aime les rimes en 'i',
Me voilà comme un asservi
A ton visage qui me sourit,
Qui me fait vivre la vie
Me rappelle ton infini,
Toi mon amour, toi mon amie
Je resterai là, je resterai ici
Près de toi, car quand tu me souris
A chaque fois je revis

Je souris dans mon spleen éternel,
Je me revois au gré des vents,
M'entourant de leurs citadelles
Quand ils se retrouvent sur l'océan.

Je disais quoi ?
Ah oui, je trollais '

"et 27 nonnes ayant rompu leurs vœux de chasteté."


Owi <3
La déferlante de ses pensées m'oxygène l'esprit comme un gouffre se voyant devenir puits, puis étang, puis lac, puis océan.

Bref c'est cool !

Prévenez moi si vous faites un truc fin juin

Bien aimés sont ces mots,
Biens délirants sont nos yeux en sanglots,
Nous voici voyant ces vers,
Et dans cette prose je me perds
Pour le plaisir de lire encore,
Tes paroles en prose qui font aimer encore <3

Comme l’ombre dans l’obscurité
Je m’imagine un soir d’été,
Me répandant dans ton être fier,
Me voilà mendiant, plus bas que terre
Espérant, dans l’indifférence,
Vagabondant en mon errance
Je suis un autre, et plus un je
Quand de moi, tu fais un jeu,
Alors la vie se détériore
Et ton délicat nectar d’amour
Me verse des mots de toujours,
Alors je me déverse et m’abandonne,
Je ne suis plus qu’un nous, un il, un ça,
Je me déplace dans vos désirs,
Ma Lune, Ma Reine, Mon délice,
Et voilà que ma démence,
Se surprend aimer votre romance,
Une chanson débute bientôt, j’aurais mieux fait de me lever plus tôt
Ou de me coucher plus tard pour profiter de votre divin manteau
Illuminé comme votre rire immaculé
D’amour, de rêve et de baiser.
Mais je m’égare, me voilà mécréant,
Me voilà ça et là, vagabondant,
Je divague dans les vagues d’un océan
Martelant mon visage et mes sentiments
Qui vous aime comme on aime infiniment.

C'est des trolls, il leur faut bien une raison d'exister

Cravache ??

...
<3


++++ Cravache .... xD

++ Je me retrouve dans la folie, elle m'invente sa poésie

Encore plus intense pour s'en mettre plein la panse,
Pour oublier les filles qui parfois,
Dans nos misères nous aperçoit
Profitant de notre désarroi,
Pour nous murmurer tout bas,
"Tu es à moi, toi mon aimé"
Et là tu te perds l'éternité,
Tu deviens rien que l'ombre de ses mots,
Un genre de rien, qui ne fait que le beau.

Puis un jour elle te quitte enfin,
Mais toi t'as plus rien que ses mains
Pour chaleur et pour lendemain,
Et tu te retrouves à n'être que rien.

Mais au moins demain, ma bien Aimée,
Je serai pas le seul naufragé,
Et dans mon torrent d'alcool déferlant,
J'oublierai tes paroles qui me hantent tant ...



On parlait de quoi déjà ?

Je te connais pas Musashi,
mais en même temps, il passe des jours et des nuits,
Se métamorphosant en année,
Pour nous, toute une éternité,

Alors il a bien le temps je pense,
Au moins le temps d'un verre,
De se nourrir la panse,
Et de penser à chaque vers.

Oui, quand vient la nuit, je parle bizarre '

Ma bouteille à l'amertume des amours magnifique
Et celle-là je l'embrasse et la jette à l'océan,
Elle m'aurait quitté bien souvent,
Et je m'en vais dans l'écume des temps.

J'ai pô lu ce qui se disait avant, mais j'imagine que ça n'a aucun rapport ... Etre un troll, c'est cool !

Ah merdum, il pleut ici aussi, mais la pluie c'est cool !
Tant pis alors, mais quand bien même, c'est intéressant ce que tu racontes là

Eléa, ce que t'as dit est super intéressant, c'est pas con du tout,
Et en plus, j'adorerais t'entendre chanter la lutte finale, maintenant que t'as proposé x)

D'accord avec Kaio aussi

Non, il dit juste avant qu'ils n'ont plus de parti (que leur gueule fatiguée), du coup, peut-être plutôt le peuple mais pas le parti politique...
Enfin je pense

Ils n'ont pas de parti que leurs gueules fatiguées,
Dire qu'il y avait un temps, le populaire chantait.
Ils n'ont pas d'espérance, n'ont pas de poing levé
Sous les drapeaux ça danse, le peuple bon marché.
Ils n'ont pas la fortune, et quand ils ont trop bu,
Ils n'ont guère que leurs mains pour se pisser dessus

Les échoués bla bla bla...

C'est clair qu'il fait référence aux chants de la populace du coup, et si on se base sur les autres rimés, le son "é" apparait plus logique que le son "è" ... mais c'est tout, sinon, la phrase est plus correcte avec chantait.

Le populaire chanter ... A la grande limite si on dépasse le limitrophe, le chanter populaire pourrait passer, mais pas le populaire chanter.
Enfin il me semble quoi, pour réutiliser un verbe à l'infinitif, tu le mets devant .... "Le parler vrai !!"

Et que voici l’espérance d’une croyance,
Voici moi devant ceux-là qui n’espèrent rien,
Non plus rien que les reins et la panse.

Mais ta carcasse m’affole, je me sens euphorique. La beauté se presse de se créer dans ce croissant d’idéalité. Par les formes simples, uniques et vagabondes, comme mes mains sur ton corsage. Je me perds, consciemment, et comme un corps sage, me voilà devenu cet animal sauvage.

Je m’apprête à l’air précipité, tout en restant alerte envers ton regard qui me presse de te quitter. Je reste vigilent, je reste là, devenant ton ombre, et j’attends, oui, je sais qu’un jour tu m’espèreras, qu’un jour face à moi, tu délaisses ta cape aux mille visages, et peut-être que tu me souriras.

Le ciel est ton unique regard, celui qui me blesse dans cet océan sans phare. Je relève mes désirs, mes sentiments tragique, je les ai tant fuit, qu’il est temps maintenant, que je t’oublie. Et si la lumière en ton visage s’illumine quelque part, pour moi il restera ma lumière, autant le matin que le soir.


Cette zone euphotique qui appelle à la lumière, dans cet air océanique, je me perds volontaire. Je sais qu’aussi bien de bon matin, à l’orée de la foret, je perdrai ton chemin. Puis viendra le soir à la sortie de cet âme sombre, je me souviendrai de toi qui me glissait dans la pénombre. J’oublierai tes caresses subtiles pour l’espoir de te revoir, aussi forte que fragile.

Et que revoici la croyance qui me perd,
Je retente à nouveau puis j’espère,
La carcasse de l’autre maintenant m’indiffère.

Tant que toi, mon amour, enfin je puisse voir
Comme tu es, de l’autre côté du miroir.


Mais putain, j'ai pas envie de t'oublier ! (ce n'est pas dans le poème xD)

Moi je te trouve drôle Julchana !! xD

Nous voilà fin mars, il est venu le temps de récupérer toutes les factures depuis le début de l'année et de toutes les repointés en compta ... Joie '

Pendant ce temps là au boulot, je découvre les dernières actualités sur mÔssieur Damien ...


https://www.youtube.com/watch?v=Dokqo4U7HwU

On n'est pas prêt de voir l'album sortir ...

Qu'il est aisé de se battre contre un belliqueux,
Comme d'emplir d'allégresse des reins bien trop creux.
Amusons nous pour l'amour des plus vieux,
Pour les plaisanteries des plus enfantins,
Et réécrivons nos pensées à travers des aveux,
Des vers sans sonnet ni quatrain.

La folie m'habille de vos mains
Si douces, si subtiles, jusqu'à demain
J'en oublie de compter mes verres,
Et l'ivresse qui coule me fera tomber cul par terre.

Mais je ris encore, je vis d'or
Et que déjà voici le nouvel aurore,
Ma parole qu'il est bon de vous lire,
Même si parfois vous en oubliez de sourire

N'oublions pas, amis, que le tout est de surprendre le tout
Devenir un, dans nos mains de chagrins,
De suffire de n'être qu'un, ici et partout,
Alors prenons et reprenons, ces désirs du quotidien.


PS: je n'ai pas compté, ni réfléchi, c'est juste de l'insomnie, l'envie de partager, que ce soit le jour ou la nuit, on ne fait que plonger, que vivre et exister.

+++ La nuit s'embrase comme s'écrasent mes pensées dans la folie.

@"Ewi"


woha.
@"musashi"


C'est toujours comme ça dans ma tête
Il y a aussi ce Serge aux grandes oreilles, et ce chimpanzé sans Dieu ni Maitre
Les oui d'étés qui m'émerveillent et ces filles qui me font disparaître.

+++ J'aime bien ce temps

Encyclopédie, ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers - Discours préliminaire.

Aucun Rapport, mais c'est un bouquin intéressant

Eiffel - Place de mon coeur (il bat plus, il se bat ! pour combien de temps encore comme ça ?)

Tu as le potentiel pour gérer le situation, courage

Quelle belle grosse ambiance vous vous balancez délicatement, telle une caresse dans le vent, belle comme un accident de bagnole, comme un poids lourd qu'a plus les freins ... J'aime Marguerite

Bien le bonsoir à tout un chacun, je reviens passer du temps sur ce forum qui ma foi est du genre fort agréable, de par sa communauté, clairement, enfin je trouve.

Et vu l'orchidée, ou du moins vu l'heure qu'il est, je vais juste passer pas ici, et repartir par-là

+++ La nuit s'embrase comme s'écrasent mes pensées dans la folie.

Parfois, il ne faut rien attendre de l'entourage, parfois, c'est l'inconnu qui peut être présent pour toi Courage ! Enfin, j'espère vraiment, courage