"Assis là dans le pénombre, j'attends." <br /><br />j'attends ce week end.<br />j'attends mes vacances.<br /><br />j'attends le moment opportun pour savourer l'instant, pris dans le tourbillon de la force majestueuse et centrifuge d'une palle d'éolienne, son visage en persistence rétinienne, tournant, tournant, sous la force du vent, tournant, tournant, sans jamais s'arrêter.<br />Et le reflet d'un ciel bleu aux fond des yeux, des images des souvenirs, à ne pas oublier.<br /><br />du temps à perdre, sur mon fauteuil.<br /><br />du temps à attendre...<br /><br /><br />"à croire que jusqu'à maintenant en hiver on vivait, vu que c'est le printemps à chaque fois que son sourire apparait"<br /><br />SaezLive, comme un monde parallèle.<br />Comme un réconfort, comme le début d'une histoire, comme le début de l'Histoire.<br />Comme un partage, une ouverture, pôle de pensées constructives, comme une genèse d'une idéologie devenue bien trop rare.<br />Comme une autée (jeu de mot ).<br />Comme une ombre.<br />Comme un aimant.<br /><br />"j'ai pas choisi de réduire mon monde à c'banc, comme Escobar à Medellin, parce qu'être mine, parce qu'erre l'spleen, c'est l'récit d'mes nuits blanches dans la cohue déja, communément connue des gens du genre dans la légende des gens collés au banc du genre... Comme un aimant"