C'était à peu près ça mon point de vue

Et quand bien même le mâle perdrait un peu de sa rudesse, serait ce vraiment un mal?

Tout l'inverse Isa.

Aujourd'hui on ne veut plus d'hommes ni de femmes mais de parfaits humains dont les rôles sont les mêmes, qui peuvent (encore heureux) et surtout doivent faire les mêmes choses. C'est tellement regrettable.

Ce que tu constates est très minoritaire, mais c'est normal. Harmoniser c'est perdre en culture et valeurs. (Comme je l'ai dit, je ferai un message détaillé ce soir, là c'est brouillon)
@"Baggio"
là par contre, ca vire au tas de connerie

le marché il a pas d'arrière pensée, il s'en bat de la moral, de la culture et autres principes non monétisable. Il veut juste vendre plus, toujours plus. Les femmes, les hommes, les enfants sont des proies, s'en fout pas mal l'industriel des valeurs qu'il véhicule, lui il veut que le prix qu'il a fixé pour sa cam soit payé.



pour le coup il a peu raison là, il mélange tout et en tire les mauvaises conclusions mais dire que les industriels ont étendus aux hommes des marchés ciblant d'origine presque uniquement les femmes (ex le plus évident: les cosmétiques) est une vérité.

on appelle ça dans le jargon "un topic petitprince", mais t'as pas connu toi tay trop jeune!

ce topic naze en plus

m'ci mon mignon!

un bon déterrage de topic en plus, c'est bô

Thank you Lady

Se défigurer le visage en tombant dans les pommes après avoir passé seulement 1h au soleil c'est fait...

Et vive la chaleur ! --'
@"gwen"
je compatis, mais je me sens obligé de relever qu'on se défigure rarement autre chose que le visage.

mais vraiment sinon, je compatis dans ta galère, une si jolie petite bouille

Merci, merci à tous!

Merci à vous, vraiment, c'est très gentil

33= Bière.

Tout est lié.
@"Suzie"
putain de blasphème.

Tu rotiras au soleil enduite de confiture.

o/

merci mes groupies

Joyeux anniversaire Fanfannnnnn !
(accepte ce trollage dans un topic trèèèès officiel comme humble cadeau )
@"idem"
oh merci

comment c'est touchant

MAIS POURQUOI JE FAIS DES COEURS PARTOUT

A Bout De Souffle <3

j'aime trop au début, la scène ou il bute le flic, c'est une leçon de suggestion, aujourd'hui on nous ferait des plans les plus gros possible pour bien voir la balle traverser la tete, là tu vois rien, mais tu le ressens tellement.

et tu expliques comment le montage? j'en ai pas mal rien à foutre de Molins ou je ne sais qui là, ce que je retiens de l'article c'est que la vidéo est quand même issue d'une grosse bidouille, ca perd tout de suite en crédibilité.

"Vallée de larmes….

Nos cœurs portent leur deuil. Sous la mélancolie de ce qu’ils avaient de nous en eux et qu’ils ont emporté. Nous savions leur existence comme ils savaient la nôtre. Telle est notre commune intuition. Nous saurons un peu de leurs vies, ce qui nous sera offert, quand leurs proches commenceront à partager. Nous en saurons alors assez pour leur faire place durable dans nos mémoires. Ils continueront ainsi à être. Par-delà les cris et l’effroi, malgré ce désarroi sans cordages qui nous encorde, plus vibrants encore que cet émoi qui nous fend en dedans et nous laisse cois. Nous les tiendrons au chaud dans nos plis d’âme, bien que pour l’heure, nous soyons saisis de froid.
L’absence…
Une petite-fille vive, parfois rêveuse, qui ne reviendra pas à l’école. Sa meilleure amie qui n’en reviendra pas, comme ça fait mal au fond, là, dans cet endroit qui a plusieurs noms, cœur, poitrine, plexus, torse, poumon, et qui fait suffoquer, qui essouffle, épuise.
Un petit garçon qui ne retrouvera pas la crèche. La crèche ne le retrouve pas. Il y a ces photos, prises à Noël, à l’entrée, sur le panneau en bois. Même sans image, son sourire est là, ses gestes de désir. Il grandissait si vite.
Une adolescente délurée, déjà sûre de vouloir embrasser le monde, et qui manquera à son amoureux. Les premières amours ont cette saveur singulière et ineffable du défi mêlé de douceur. Un charme qui jamais nulle part ne sait se répéter.
Un adolescent dont la voix commençait à se rythmer et à se frotter à la rocaille, le menton s’assombrissant de quelques poils épars et fiers, ne dissimulera plus sa timidité derrière des airs de crooner taciturne.
Une maman qui ne rentrera plus, ces chants qui ne seront plus fredonnés, sous la douche, sur le balcon en arrosant des bégonias gourmands, en remuant la terre sous de récalcitrants asters de Tartarie, après une journée professionnelle pourtant harassante. Une femme, sentimentale et soucieuse, qui ne méditera plus en contemplant les stries des reines d’argent côtoyant de pulpeux aloès, les reflets des aeonium dont les pétales oblongs, offerts comme un soleil, font perler l’eau avant de la laisser rouler dans une chorégraphie de lenteur. Une femme aux reins usés par le labeur, qui n’avait rien perdu de sa joyeuse humeur, ne pestera plus contre sa fille aînée pour la mettre en garde : c’est toujours la trajectoire de la fille qui s’interrompt quand on veut se glisser trop tôt dans les lacets affriolants de la vie, souvent scélérate envers les pauvres. Une femme d’ardeur, qui a déjà dit son fait à la vie pour ses croche-pieds et ses chausse-trappe, et qui, tandis que le jour baisse pavillon, ne rira plus ne lira plus dans une berceuse pour se laver la tête des petitesses du boulot, du brouhaha des transports.
Un père, un amant, un homme qui sifflotait entre les lèvres ou dans la gorge rêvant de brillants chemins de vie pour ses fils, tout en réfléchissant à cette épargne qui préserve l’avenir, ne sonnera plus parce qu’il a oublié ses clés.
Ils ont des prénoms qui résonnent de toutes les contrées du monde, ramenant des senteurs, des sons, des clichés et des clichés, et engendrant un même chagrin, une même désolation qui rappellent que, par-delà terres et mers, les larmes sont sœurs.
Ainsi les pensons-nous, pour leur redonner vie, en attendant que ceux qui les connaissent nous les racontent. Try a little tenderness, la voix d’Aretha Franklin nous obsède.
L’aveuglement qui frappe avec une froideur de robot d’acier n’a jamais eu ni de raison ni raison. Quelles fêlures faut-il à l’esprit pour faire éclore cette démence démentielle, chez l’homo sapiens sapiens, homme qui pourtant sait qu’il sait. De quelles fureurs anciennes et nouvelles, familières ou inédites, matées ou rétives, gronde ce monde où l’hystérie nourrit l’hystérie!
Même de loin, mais si près de la souffrance, nous savons que notre seule offrande, celle qui nous sauve ensemble des étendues et profondeurs de la désespérance, ne peut venir que des signes de la vie qui vainc.
I’ve got dreams to remember (Otis Redding).
Pendant qu’un semeur de mort et d’affliction, exilé en méta-humanité, brisait tant de promesses et de sagesses, le dernier mot n’était pas dit.
Des enfants sont nés cette nuit-là. Je n’ai pas vérifié mais je sais. Car ainsi va la vie qui vainc. Ces bonheurs n’ont pas la vertu de verser une goutte de fraîcheur sur les cœurs en malheur.
Mais ils signent la défaite des semeurs de mort, qui qu’ils soient."

Christiane Taubira

"Pour mes soleils et mes lunes
Je ferai du futur une épure simple de lecture
Chasserai la peur et ses brumes
Pour que vos rêves restent ce refuge,
que le ciel murmure

Je paverai les rues d'élans de mon cœur pour que vos pas soient sûrs

Parce que chaque jour se fait rude par nature"

+1000 pour celui ci al

comme je voyage un peu dans le temps en ce moment, je me mate les "classiques" :

Apocalypse Now : Ou l'art de se poser des questions sur la guerre, la violence et la haine. C'est magnifique. Je connaissais pas trop ce cinéma là, mais le fond et la forme convergent vers le chef d'oeuvre. Les personnages, l'ambiance... <3 <3 <3 (3 coeurs ca les vaut bien). On sort lessivé émotionnellement des 3h de film.

Citizen Kane : Alors là, après 10 minutes je me suis dit "putain je vais me faire chier pendant 2 heures". Et bah non. On arrive à épier la vie de Charles Foster Kane sans même s'en rendre compte, on veut tous savoir, et ce Rosebud alors hein?! on en parle?! C'est très dur de savoir si c'est un "homme bien" (dans nos standards) ou pas. Tantôt facho tantôt coco, toujours américain, toujours excessif, le rapport à soi, l'amour, putain y a trop de trucs la dedans! et je verrais bien un remake avec Di Caprio dans le rôle de K <3 <3 < (2 coeurs et demi car la comparaison avec AN est très difficile à supporter)

Mes Soleils et mes Lunes
Version acoustique
Akh, Black Album.

Tu te méprends Kaio, je l'ai bien préciser et le répète, je n'ai tirer aucune conclusion sur cette vidéo. Il n'y a aucun complotisme de ma part a ce sujet.
...
Je trouve juste cette vidéo troublante pour les 3 raisons que j'ai citer plus haut.
@"Alchimie"
donc tu te bases seulement sur le fait que BFM ne montre pas cette vidéo pour suggérer que peut être on nous cache quelque chose.



OK.