Carrément ! T'as l’œil ! C'est un peu comme si sur la pochette il cherchait le ciel dans la religion et que finalement la solution c'est l'amour d'un femme, non ?
@"Angie"


Ca me fait penser à :

Si l'amour est un temple
Et qu'il y faut prier
Comme on prierait le ciel

Si l'amour est un temple
Toi tu seras ma religion

Quelques propositions :

-Sur le quai

Le bateau qui s'en va
Toi qui tournes la tête
C'est toi qui prends le large
Ouais mais c'est moi dans la tempête

Qu'ils reviennent mouiller à ma porte
Les embrouilles dans mes brouillards

Allez Damien reprends ton coeur
Tu sais qu'elle ne reviendra pas
Qu'elle t'a laissé pour un soldat
Revenant du combat


-Webcams de nos amours

Quand elle me murmure tout bas
Sur les webcams de nos amours
Nous deux on s'est dit pour toujours
Y'a des codes barre philanthropiques

Des lumières dans les contre-jours
Mon amour est parti toujours

Je chante son nom dans les bars
Mais les autres tu sais moi je m'en fous
J'ai dans l'espoir de la revoir


J'aime bien quand tu te déshabilles
Aux yeux du computer qui brillent

J'aime bien quand tu te déshabilles
Aux yeux du computer qui brillent

Venez cultures, venez matières
Elles ont bâti nos éphémères


-Planche à roulettes

Nous jouons du tambour
Sur le corps de l'enfer
Pour jusqu'au petit jour
Faire l'amour à la Terre

c'est moi qui t'embrasse
Solidaire de la ville

A l'espoir qui s’élève
Toi t'as les yeux qui brillent

Quel que soit le pays
Quel que soit le destin
Le mien sera le tien
Quelles que soient ces amours
Qui se perdent en chemin
Le mien sera le tien


-Légionnaire

Tu peux mourir
Je ne suis pas de ceux-là qui courent après Dieu

Le légionnaire à l'aube est parti
Et puis avec celles-là qui ont trop fait a fête
Je serai disparu dans les tempêtes

Pour A Nos Amours :

Tes rêves on a vendus
Tes poings ont trop
Serré les clous
A quoi tu penses?
A nos amours


Quelques propositions :

-Aux encres des amours

Dans les bras d'un autre navire
Mon amour tu sais j'ai beau fuir
Mon amour je t'aime à mourir

Aux encres des amours
Les navires se déchirent


-Chatillon sur Seine

Moi j'aurais tant à vous dire
Et si Chatillon pleure
Sur le corps de mes amis
Oui des printemps sans fleurs
Moi j'aurais tant à vous dire
Et que Chatillon pleure
Sur ton corps mon ami
Oui le chant du malheur


-Les Magnifiques

Sera toujours dans leurs chansons
Ils ont les yeux des trop avides
Et puis la force des fragiles

Eux ils crucifient l'autre
A qui ils on juré le Bon Dieu
Quand il s'acharne sur son corps


-Bouteille à la mer

Sur toi mes yeux ont jeté l'ancre
Et les flots bleus dans mes yeux rentrent

Nos deux prénoms sur les rochers
Ma bouteille à la mer
Pour te dire que je t'aime

Ma bouteille à la mer
Pour te dire que je t'aime
Et que toujours je t'aimerai

Sur toi mes yeux ont jeté l'ancre
Emmène moi sur des flots bleus

Comme je ne sais pas si catseyesss57 va éditer les paroles de Le Gaz, je les reposte avec quelques différences.

Le Gaz

Tu t’es barrée comme ça
Comme la fumée d’une clope
Qui prend le large et la mer
Boire c’est du cyanure
Ton image qui se trame
Dans le train moi je traine les boulevards
Y a des vagues de toi
Et y a moi qui divague à l’âme
Comme un peu plus de sel sur la blessure
Des amoureux qui s’aiment sur le quai de la guerre
Des idées noires

Tu t’es barrée comme ça
Comme un homme à la mer
Parti dans la fumée
Oui mon cœur échoué
Tu t’es barrée comme ça
Comme un homme à la mer
Mais manque à mes cotés
Oui l’univers entier

Tu t’es tracée dans l’air comme une fuite de gaz
T’as laissé l’allumette entre mes mains ordure
Et c’est moi qui ai craqué
Et mon poing explosé dans le mur
Tu t’es tirée comme ça
Toi t’as tiré sur moi
T’as shooté en plein vol
J’ai gouté le bitume
Des rivières aux paupières
Et la mer qui me laisse l’amertume


Tu m’as laissé comme ça
Comme un homme à la mer
Parti dans la fumée
Oui l’univers entier
Tu m’as laissé comme ça
Comme un homme à la mer
Parti dans la fumée
Oui mon cœur échoué
Oui mon cœur échoué


J’ai allumé le gaz mais toi t’as pris le feu
Même pas de quoi me bruler la dernière cigarette
C’est mon cœur que tu fumes
C’est la nuit qui s’allume
Liberté dans l’effort tu brules mon regard
Quand tu montres ton cul
Quand tu te mets toute nue
Perdue sur les boulevards
Tu fais danser la rue
Dans les flammes dans les chiottes
Toi t’as jeté mon âme
C’est toi qui as mis le feu
Oui mais c’est moi qui crame
J’ai traversé la nuit
Et l’amour en vampire
Accroché à mon cou
La mélancolie
Tu reviendras peut être car on revient toujours
Et mon cœur à la fête en redemandera sans doute
Tu me laisseras comme ça
Comme un con sans abri
Comme on laisse derrière soi
Comme un chien dans la nuit

Tu me laisseras comme ça
Comme un con sans abri
Comme on laisse derrière soi
Comme un chien dans la nuit
Tu me laisseras comme ça
Comme un con sans abri
Comme on laisse derrière soi
Comme un chien dans la nuit
Tu me laisseras comme ça
Comme un con sans abri
Comme on laisse derrière soi
Comme un chien dans la nuit

Hm, j'ai une petite remarque, qui peut paraître complètement conne, mais bon...
Dans la chanson Betty, il parle d'amour noir noir noir...

Suis-je le seul à voir un lien avec Black Betty ? Ou Est-ce une pure coincidence selon vous ?
@"Romz89"


On en parle ici : http://www.saezlive.net/forum/topics/view/paroles-betty

Salut amis saezien!une petite question qui sont Nelly et Bruno?
@"joj"


Regarde dans les pages précédentes certains ont fait des recherches et trouvé quelques indices...


Très certainement. Merci à lui de ne pas les avoir gardé pour lui.
Dans une interview sur VLP, il avait expliqué qu'il avait laissé de nombreux textes de côté. Il avait aussi dit, qu'il avait pensé, rajouter des cordes sur les titres mais qu'il avait voulu garder la musique brute. Sur cet album, il est allé au bout de son idée avec sur des titres, une orchestration époustouflante.

@"tiolum"


Ce qui expliquerait pourquoi le thème du marin-bateau-océans-navire est encore bien présente dans cet album.

Je veux pas faire ma tatillon mais pour Ami De Liège, c'est soit

Toi petit frère des nuits
Qui chantait mes poèmes
Comme on chante la vie

ou soit:

Toi le martyr liégeois
Toi mon ami qui sais
Oui le prix des violences

J'entends plutôt:

J'ai rêvé, douce France,
Des enfants de l'exil,
Des charters en partance,
Aux politiques asiles,
Les solidaires, ici,
Ont des airs de désir...
@"alexsaez100"


J'ai réécouté en lisant tes propositions et je suis pas convaincue que ce soit ça.

Donc si d'autres personnes pensent que c'est comme ce qu'alexsaez100 propose, j'éditerai les paroles.

Juste pour savoir à quoi ça signifie, vous entendez quoi par "des textes trop faciles" ?



FloRian: ah ce sont les personne de la chanson "Châtillon-Sur Seine" justement non?
@"Maitre


J'ai un doute pour ça. Sur la photo, on dirait un couple qui a sensiblement le même âge. Si Bruno c'est Bruno Rousselet et Nelly, Nelly Cholbi, ça ne colle pas.

Ou alors c'est un montage...

Vigo et Popo: merci pour vos contributions.

J'entends comme toi Isa.


Petite remarque aussi pour finir, apparemment il a réussi à tirer un trait sur ses déboires polonais. Ca me rassure...pour lui...parce que dans PLV il avait l'air d'avoir bien morflé quand même...
@"sebinio"


Pas totalement, il y a Les Meurtrières...

Peut-être que toutes ces références à Brel, la façon de chanter comme lui, etc... est une manière pour Damien de lui rendre hommage tout simplement (ou pas). Après, ça plait ou pas, à chacun son opinion.

Mais de rien!

Moi j'hésitais entre "chante chante Damien" et "chauffe chauffe Damien". Pour la 2eme, encore une réf à Brel ?!

Damien est premier fan de lui même.

Pour Légionnaire, quelques petites corrections :

J'parle mal […] les manières
-> J'parle mal aux "fait des manières" (pas sûr)

@"Olorin"


J'aurais dit "J'parle mal ou fais des manières".

Pour Marianne, voilà ce que j'entends :

(...)

Marianne elle est fumeuse de joint
Marianne elle a viré putain
Marianne elle chante sur les chemins
Marianne elle a vendu l'humain

(...)


Aux miséreux sous les tombeaux
Marianne elle chante sous les chemins
Marianne elle couche sous les ponts
Marianne elle a vendu l'humain
Marianne voudrait du pognon

(...)


Marianne
Tu manques trop de rock and roll
Puis t’as pris un peu trop les drogues
T'as le sourire de corbillard
Et les manières de communion

Bouteille à la mer

C'est beau un océan qui pleure
[...] le cœur des disparus
Perdus dans les marées du temps
Perdus

@"FANOU"


Je crois entendre :
"C'est beau un océan qui pleure
Et comme mon cœur, des disparus
Perdus dans les marées du temps
Perdu"

In To The Wild

Et si on tentait l’Alaska
Pour redevenir homme
Au milieu des loups
Sentir l’eau du ruisseau
Entre les doigts
Si on quittait tout demain
L’aliénation à tout cet inutile
Si nous partions main dans la main

In to the wild (x2)

Si nous faisions comme lui
Celui qui a tout quitté
Pour les ours blancs
Pour regarder l’immaculée conception
Redevenir pour un moment
Celui qu’on a été un jour
Le jour où nous n’étions qu'élan
Qui apprend à marcher

In to the wild (x4)

Tu les as vus nos quotidiens
Nos portables et les câbles
Qui nous lient au cœur de l’humain
Les connexions dans leur cerveau
On a l’air de quoi toi et moi
Là perdus dans la fourmilière
Comme un poisson cherche de l’air
Des feux qui font plus de lumière
Si on fait pas l’Alaska
C’est qu’on aura trouvé en route
Un coin pour se poser nos âmes
Un petit bout du monde
Qui sera rien que toi et moi
Qui sera notre bout d’étoile
Celui que rien n’enlèvera
Celui qui fait qu’on tient

In to the wild (x12)

Je sais qu’on ne partira jamais
Que c’est bon de penser
Que l’univers est possible
Puisse que tout ici
Nous est impossible
Il nous suffira de la route
Et du jour qui se lève
Pour donner lumière à nos nuits
Et l’univers aux infinis

Les Echoués

Ils s’éteignent un matin
Dans le battant des foules
Ils ont le regard du vin
Quand parfois leurs yeux coulent
Ils n’ont pas de couleur
Pas de drapeau tendu
Alors ils trainent un peu
Comme des bateaux perdus

Ils ont l’habit du pauvre
Et le regard du roi
Ils n’ont pas de parti
Que leur gueule fatiguée
Dire qu’il y avait un temps
Le populaire chantait
Ils n’ont pas d’espérance
N’ont pas de poing levé
Sous les drapeaux ça danse
Le peuple bon marché
Ils n’ont pas la fortune
Et quand ils ont trop bu
Ils n’ont guère que leur main
Pour se pisser dessus

Les échoués (x 2)

Faut qu’on nous mise sur les cotés
Y a plus la place sur les marchés
A ton regard perdu
On voit l’humanité

Les échoués le soir
Tu les verrais danser
Ceux qui font le trottoir
N’ont pas le cœur usé
Et s'il y a plus de soleil
Dans leur levé du jour
Il faut croire ici que nos règnes
Ont bouffé nos amours

Les échoués (x3)

Je Suis Un Etranger

Aux rêves de douce France
Les enfants de l’exil
Des charters en partance
Aux politiques asiles
Des solidaires ici
Ont des airs de désir
La montre à ton poignet
Moi je vole à la tire
Valeureux roi financier
Et cynisme au sourire
Nous construisons des murs
Tu construis l’avenir
Dans des villes d’enclave
Peur dans les métros
Sous le chant des esclaves
Sous l’envole de l’oiseau

Je suis un étranger
L’orage est mon pays
Je n’ai pas de monnaie
La route est mon amie

Nous civilisations
Toi les camps à Calais
Nous les désillusions
Toi le béton armé
Nous trop vieilles cultures
Toi petite ouvrière des villes
Nous réserver c’est sûr
Toi l’enfer des bidonvilles
Nous les collaborants
Des Babylone en argent
Nous les prostituants
Toi l’œil du printemps
Nous les voleurs de terres
Toi fils de tyrannie
De nos pétrolifères
Toi boire l’eau des pluies

Je suis un étranger
L’orage est mon pays
Je n’ai pas de monnaie
La route est mon amie
Je suis un étranger
Et tel est mon chemin
J’ai brulé les papiers
J’ai partagé mon vin

Pour ramasser les poubelles
Toi travail aux aurores
Nous regarder le ciel
Toi courber le corps
A l’espoir à la cave
Toi tu coules des sueurs
Sous les chants des esclaves
Aux profits des sans cœur

Tous sans papier
Tous sans patrie
Tous fils d’un étranger
Tous fils de l’incendie
Dis pourquoi douce France
Je ne vois qu’ignorance
Des fascismes à outrance
Pays de nos enfances

Nous sommes des étrangers
La Terre est notre pays
Nous n’avons pas de monnaie
La route est notre amie
Nous sommes des étrangers
L’orage est notre chemin
Faut bruler tes papiers
Faut partager ton vin

Faut S’oublier

Entre le marteau et l’enclume
Entre la rue et la fortune
Entre les tristes du trottoir
Entre le vent et l’illusoire
Entre le goudron et le ciel
Les tourtereaux les tourterelles
Entre les taxis sur leur terre
Entre tes os et puis ma chair
Entre nos corps et puis nos cœurs
Entre ton rire et puis mes pleurs
Entre les chats blancs les chats noirs
Entre les verres et les comptoirs
Entre l’ivresse et les sanglots
Entre les caresses et les crocs
Les passants miséricordieux
Entre les fois et les bons dieux
Entre nos crimes et puis nos cris
Et c’est fini les infinis
Entre la cuillère et puis la drogue
Sur les boulevards vont nos pirogues
Entre nous deux
Entre les feux
Entre les non dits de tes yeux
Entre les coups
Entre les clous
Entre les fous
Puis entre nous
Entre le printemps et l’hiver
Ce qui nous blesse ce qui est cher
Entre les fêtes et les défaites
Entre les temps et les tempêtes
Entre les je t’aime et les mots
Qui font chavirer nos bateaux
Entre l’océan et la plage
Entre la plume et puis la page

Faut s’oublier
S’évader
Se réchauffer
Avec des mots d’amour
S’oublier
Se déchirer
S’embrasser
Comme au dernier jour

Et si ce règne des choses
A bouffer jusqu’aux overdoses
Oh mais si ces deux là s'en foutent
Puisque s’aimer jamais ne coûte
Dans la rue aux mauvaises étoiles
Sur les avenues bateau sans voile
Les ivrognes aiment bien naviguer
Comme des soleils au champ de blé
Et si nos yeux aiment bien pleurer
C’est parce que nous nous aimons nous aimer

Faut s’oublier
Faut s’évader
Faut s’embrasser
Comme au dernier jour
Faut s’oublier
Nous déchirer
Nous réchauffer
Avec des mots d’amours

Entre les deux amants
C’est la vie qui s’incline
S’ils n’ont pas d’argent
C’est la pluie orpheline
Et ils font les enfants
Qui sauveront le monde
Des futurs au présent
Puisqu’à chaque seconde
Ils se disent des choses
Qui font tourner les terres
Il y a jamais de pauses
A leur chant des mystères
Ils sont beaux ils sont laids
De leurs cheveux plein de poux
Et pourtant qu’ils sont beaux
Ceux qui n’ont pas le sou
Et si toi tu veux avec moi
Oui danser comme eux
Sur les toits sans l’abri
Avec moi si tu veux
Devenir roi du ciel
Toi reine d’un jour
Au lever du soleil
Pour sauver notre amour

Faut s’oublier
Faut s’évader
Faut s’embrasser
Comme au premier jour
Faut s’oublier
Se déchirer
Se réchauffer
Avec des mots d’amour
Faut s’oublier
Nous évader
S’embrasser
Comme au premier jour


PS: Merci à tous ceux qui partagent les paroles

Rois Demain

Quand tu prendras la mer
Elle sera sémaphore
Quand tu verras la terre
Elle deviendra le port
Quand t’auras plus le ciel
Elle sera ton étoile
Comme un point de lumière
Vient éclairer la toile
De peintures en dessins
On dessine nos vies
On s’ébat dans l'essaim
Dans l'essaim on s’écrie
On crie tout notre amour
A ceux qui n’entendent pas
A chanter sur les toits
Sur qu’on cherche sa voie
Elle fera couler ruisseau
Quand t’auras plus les armes
Quand tes yeux n’auront plus
Oui, qu’à sonner l’alarme
Quand l’horizon devant
Ne sera que la plaine
Elle deviendra colline
Elle deviendra la cime
Quand tu chercheras trop
Oui, à quoi tout ça rime
Quand t’auras tout vendu
Ton âme et ta sublime
Elle te fera les gestes
Qui font les poésies
Et puis qui sait dedans
Oui ce qui fait la vie
Qu’importe les chemins
Que nous prendrons ensembles
Qu’importe sous quels cieux
Seront nos mains qui tremblent
Et puis si la vieillesse
Vient frapper à la porte
C’est qu’on aura vaincu
Ce temps qui nous escorte
Je serai avec toi
Combattant impossible
Je t’apprendrai à voir
Ce qu’on garde invisible
Et s’il faut que chaque jour
Je devienne soleil
Pour éteindre la nuit
Pour éclairer ton ciel
Oui nous serons rois demain
Mon amour toi et moi
J’irai chercher de l’or
Pour chacun de tes doigts
Et quand les océans
Te monteront aux cils
J’irai au fond des mers
Du noir de tes pupilles
Et s’il faut que chaque jour
Je devienne soleil
Pour éteindre les nuits
Pour éclairer ton ciel
Nous serons rois demain
Mon amour toi et moi
J’irai trouver de l’or
Pour chacun de tes doigts
Et quand les océans
Viendront noyer nos terres
Nous suivrons les printemps
Nous suivrons la lumière
Oui quand les océans
Viendront noyer la terre
Nous serons le printemps
Nous serons la lumière

On va finir par croire qu'il y a des "groupies" à Radio France.

Théo jouait déjà sur J'accuse (il y a aussi une dédicace dans J'accuse). Avoir un petit frère qui a une formation pro en batterie et percussion, autant s'en servir.

Y'a un truc que je comprends pas dans la chanson "Chatillon Sur Seine". Il a été dit que c'était Bruno Rousselet et Nelly Cholbi qui étaient concernés dans cette chanson mais c'est quoi le rapport entre Nelly et Bruno dans la chanson ?
@"veima29"


Je pense que ce sont deux personnes qui ont été importantes dans la vie de Damien, qui peut-être grâce à elles, il est ce qu'il est aujourd'hui. Il les a perdues au même moment quasiment. Voilà le lien qu'il peut y avoir.

"Dans deux mois exactement", tu parles de la sortie de Miami ?

@"Eliae"


17 novembre début de la tournée. Sortie de Miami prévue pour le 3 décembre


Du coup je n'ai même pas écouté "Messine" mais je suis "choqué" (pas dans le sens péjoratif) par cette référence à Brel dans la chanson, la 1ère phrase "j'aurais aimé", comment ne pas penser à "j'aurais aimé t'aimer comme on aime le soleil..", de Brel ("Ne me quitte pas") ? Comme le fait remarquer Syrena un peu plus haut il me semble.
@"Eliae"


"J'aurais aimé t'aimer comme on aime le soleil" c'est de Saez dans J'Veux Qu'On Baise Sur Ma Tombe...

La référence à Brel est quand il dit "Comme il dit c’est le rouge et le noir pour qu’un ciel flamboie" (cf Ne Me Quitte Pas, "Pour qu'un ciel flamboie Le rouge et le noir Ne s'épousent-ils pas").