Ahah ! Je me doutais bien que quelqu'un aller créer un topic sur eux tout bientôt...

Moi j'ai connu ça y'a 3/4 mois et je confirme personne quasiment connaissait.
C'est plus le cas désormais. Mes 2 chansons préférées sont :

Sainte-Anne


http://www.youtube.com/watch?v=WDGMXjUMSKg

et

Nuits fauves


http://www.youtube.com/watch?v=oHvQUGD2a0I


Pas un mot dans les médias...
Pas un mot sur son site internet...
Pas un mot sur facebook et twitter...

Moi je trouve ça simple et gratuit clap clap
@"viper82"


+1

Arrêtez de chercher tout le temps dans le négatif sérieux.
C'est classe, normal, sans calcul de sa part.

Et au diable Lorie, on s'en cogne éperdument...

Ah cool pour les MP3 !!! Thank's.

Et hop ! C'est parti on appuie sur " play " !!!

Sincèrement ( après je peux me tromper ) si Sophie truc ( je sais plus son nom ) officialise " j'veux m'en aller " dans son futur album de reprise et bien évidemment qu'elle aura eu l'accord de Damien. On peut pas prendre et piquer des musiques sans le feu vert de son auteur.

On arrose les démissions ici ?!

J'amène le Banga et les fraises tagada, perso...

Moi je bois avant chaque concert...
@"Maricles"


Ca c'est de l'info !
Captivant !

HS: Une gamine qui a ton âge @Spleen !

Ben moi perso je trouve ça cool et en plus " j'veux m'en aller " ! Ca change de " jeune et con ". Bonne news. Merci flippeur.

Keny Arkana - Le fardeau



aaah j'ai le cafard maintenant !!!
@"Alizée"


M'en parle pas...



Noir Désir - Gagnants/perdants

Les Girondins de Bordeaux en finale de la coupe de France !!!!!!!!!!!

Oui je suis fier d'être bordelais !!!!!!!!!

Alex Beaupain - Je suis un souvenir
( certainement la chanson la plus poignante que j'ai entendu en ce début 2013... )


http://www.youtube.com/watch?v=yXd28E0nS5E

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine et arriver à bon porc, car tout est bon dans le cochon aussi têtu soit-il et toutes les queues en tire-bouchon débouchonent des bouteilles des plus voraces

( bon j'ai des doutes sur la tournure d'un point de vue " français correct" après " tire-bouchon" ) C'était ma dernière contribution de la soirée... Bonne nuit.

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine et arriver à bon porc, car tout est bon dans le cochon aussi têtu soit-il

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de mais en perdition

Ahah moi je déconnais pas. Alizée avait écrit en même temps mais en fait elle a corrigé par la suite...

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi...

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi...

La métaphysique change la perspective des Dieux mortels qui se voient dans les miroirs narcissiques de leurs âmes trop salées et amères tels des êtres de néant aux rêves d'absolues et de débauche transgénique dans des bars sombres aux maïs OGM croisés des marguerites et des vaches normandes complètement folles à chercher des trèfles à 4 feuilles dans un champs de coquelicots et de Marguerites qu'elles fument séchées à la chicha autour d'un feu de camps gitan des plus inappropriés à la luxure et à la débauche des sentiments oubliés comme une vielle paire de chaussettes encore sales et odorantes, dont l'odeur fait remonter des souvenirs de cadavres embaumés dans des pyramides sans âge allant tutoyer les étoiles de l'impossible et de l'inespéré rêve de prédire l'avenir au fond d'un verre de bière et étaler leurs déboires aux oreilles de Marie qui s'en trouvait léthargique et saturée, se met à faire tourner sa jupe sous les yeux de René Descartes qui renaît de ses cendres centenaires et philosophe avec Guy Debord, et Marie continue à danser et voilà que René Coty arrive à son tour et Emmanuel Kant le double sur la ligne d'arrivée des courses de trottinettes avec des rollers jaunes et rouges supporters de l'USAP l'Union Satellitaire des Apprentis Philosophes dont le QG n'est autre que chez Betty qui ressert à boire à qui a soif, abandonnés, délaissés, échoués, recherchant du soutien dans leur verre vide comme leur vie d'insectes insignifiants et condamnés à l'asile de l'ignorance extrême quant à leur devenir si compromis par l'addiction perverse à la littérature d'un temps passé et perdu que Proust cherche encore comme un vivant cherchant la mort dans un placard poussiéreux des balais qui chassent le temps là où on ne peut pas le rattraper et que la douce mélancolie mène au gré des vents sans artifice et vers un but incertain mais porteur du mince espoir qui tient l'humain avant la fin des mondes en feu et en sang du pourpre des betteraves étonnamment jolies comme des cœurs pris par Aphrodite pour s'en couvrir tel une toge de lin blanc aux liserés rouges du sang issu des sacrifices chthoniens du centre de la Terre dont le noyaux est en train d'imploser en poussière d'étoiles filantes et de comètes désastreuses fonçant sur la terre bleue comme une orange amère en confiture et déconfiture de l'armée du Rhin en chute de reins pour rien nier du néant rempli d'objets étranges de l'Atlantide sortie des eaux du lavabo amputé du siphon par Poséidon invité à se resservir par Betty au fond du bar fraîchement pêché dans la piscine du Kaboul kitchen en plein cagnard à l'orange amère en confiture et déconfiture de grand-mère rouge et noir entre communisme et anarchisme, entre Julien Sorel et Mme de Rênal, Sartre et Coluche, lumière et obscurité des nuits des temps écoulés dans une clepsydre que Passe-Partout, qui a perdu ses clés dans les cachots, a cassé sur un coup de tête contre un caniveau où passe un bateau en papier mâché par Lindsay Lohan et filant droit vers un égout puant les déjections de la marée humaine en mouvement comme ces bateaux sans voile à la dérive entre Atlantide et Eden, entre la mort et l'étincelle

La métaphysique change la perspective des Dieux mortels qui se voient dans les miroirs narcissiques de leurs âmes trop salées et amères tels des êtres de néant aux rêves d'absolues et de débauche transgénique dans des bars sombres aux maïs OGM croisés des marguerites et des vaches normandes complètement folles à chercher des trèfles à 4 feuilles dans un champs de coquelicots et de Marguerites qu'elles fument séchées à la chicha autour d'un feu de camps gitan des plus inappropriés à la luxure et à la débauche des sentiments oubliés comme une vielle paire de chaussettes encore sales et odorantes, dont l'odeur fait remonter des souvenirs de cadavres embaumés dans des pyramides sans âge allant tutoyer les étoiles de l'impossible et de l'inespéré rêve de prédire l'avenir au fond d'un verre de bière et étaler leurs déboires aux oreilles de Marie qui s'en trouvait léthargique et saturée, se met à faire tourner sa jupe sous les yeux de René Descartes qui renaît de ses cendres centenaires et philosophe avec Guy Debord, et Marie continue à danser et voilà que René Coty arrive à son tour et Emmanuel Kant le double sur la ligne d'arrivée des courses de trottinettes avec des rollers jaunes et rouges supporters de l'USAP l'Union Satellitaire des Apprentis Philosophes dont le QG n'est autre que chez Betty qui ressert à boire à qui a soif, abandonnés, délaissés, échoués, recherchant du soutien dans leur verre vide comme leur vie d'insectes insignifiants et condamnés à l'asile de l'ignorance extrême quant à leur devenir si compromis par l'addiction perverse à la littérature d'un temps passé et perdu que Proust cherche encore comme un vivant cherchant la mort dans un placard poussiéreux des balais qui chassent le temps là où on ne peut pas le rattraper et que la douce mélancolie mène au gré des vents sans artifice et vers un but incertain mais porteur du mince espoir qui tient l'humain avant la fin des mondes en feu et en sang du pourpre des betteraves étonnamment jolies comme des cœurs pris par Aphrodite pour s'en couvrir tel une toge de lin blanc aux liserés rouges du sang issu des sacrifices chthoniens du centre de la Terre dont le noyaux est en train d'imploser en poussière d'étoiles filantes et de comètes désastreuses fonçant sur la terre bleue comme une orange amère en confiture et déconfiture de l'armée du Rhin en chute de reins pour rien nier du néant rempli d'objets étranges de l'Atlantide sortie des eaux du lavabo amputé du siphon par Poséidon invité à se resservir par Betty au fond du bar fraîchement pêché dans la piscine du Kaboul kitchen en plein cagnard à l'orange amère en confiture et déconfiture de grand-mère rouge et noir entre communisme et anarchisme, entre Julien Sorel et Mme de Rênal, Sartre et Coluche, lumière et obscurité des nuits des temps écoulés dans une clepsydre que Passe-Partout, qui a perdu ses clés dans les cachots, a cassé sur un coup de tête contre un caniveau où passe un bateau en papier mâché par Lindsay Lohan et filant droit vers un égout puant les déjections de la marée humaine en mouvement comme ces bateaux sans voile

Cali et Marie Gillain - Je me sens belle

( du film "magique" )


http://www.youtube.com/watch?v=ER__EUXUKZ8
@"jej33"


J'adore cette version !!!! (comme le film d'ailleurs )
@"Alizée"


J'adore ce film, il est touchant et infiniment beau.

Et puis quand Bruno ( Cali ) explique au gamin la définition, selon lui, de" la mélancolie" c'est juste bouleversant... C'est le genre de film que j'espère un jour montrer à mon enfant...
Il y a la magie, l'espoir, l'amour, la tristesse et la simplicité dans toute son expression.

Sinon là c'est :
Cali - Tu me manques tellement
( oui à cause de toi je me retape toute la disco en ce moment )

Cali et Marie Gillain - Je me sens belle

( du film "magique" )


http://www.youtube.com/watch?v=ER__EUXUKZ8

Je commence Comment voulez-vous que j'oublie... d'Annie Butor
@"boby6"


Ah yes ! Il doit y'avoir de magnifiques anecdotes sur Léo. Ce livre me tente, je vais essayer de l'acheter si je peux prochainement...

L'homme joie - Christian Bobin

Très partagé sur ce livre.
J'aime beaucoup la manière poétique qu'il a de parler d'un quelconque objet ou à l'inverse d'une femme qui l'a aimé. Après moins emballé par certains passages où la croyance ( religion ) est omniprésente. Mais sur ce dernier point ça n'engage que moi et comme je suis pas spécialement croyant, ça va de soi...

En fait t'es une mauvaise joueuse tu veux pas que je termine !


La métaphysique change la perspective des Dieux mortels qui se voient dans les miroirs narcissiques de leurs âmes trop salées et amères tels des êtres de néant aux rêves d'absolues et de débauche transgénique dans des bars sombres aux maïs OGM croisés des marguerites et des vaches normandes complètement folles à chercher des trèfles à 4 feuilles dans un champs de coquelicots et de Marguerites qu'elles fument séchées à la chicha autour d'un feu de camps gitan des plus inappropriés à la luxure et à la débauche des sentiments oubliés comme une vielle paire de chaussettes encore sales et odorantes, dont l'odeur fait remonter des souvenirs de cadavres embaumés dans des pyramides sans âge allant tutoyer les étoiles de l'impossible et de l'inespéré rêve de prédire l'avenir au fond d'un verre de bière et étaler leurs déboires aux oreilles de Marie qui s'en trouvait léthargique et saturée, se met à faire tourner sa jupe sous les yeux de René Descartes qui renaît de ses cendres centenaires et philosophe avec Guy Debord, et Marie continue à danser et voilà que René Coty arrive à son tour et Emmanuel Kant le double sur la ligne d'arrivée des courses de trottinettes avec des rollers jaunes et rouges supporters de l'USAP l'Union Satellitaire des Apprentis Philosophes dont le QG n'est autre que chez Betty qui ressssert à boire à qui a soif, abandonnés, délaissés, échoués, recherchant du soutien dans leur verre vide comme leur vie d'insectes insignifiants et condamnés à l'asile de l'ignorance extrême quant à leur devenir si compromis par l'addiction perverse à la littérature d'un temps passé et perdu que Proust cherche encore comme un vivant cherchant la mort dans un placard poussiéreux des balais qui chassent le temps là où on ne peut pas le rattraper et que la douce mélancolie mène au gré des vents sans artifice et vers un but incertain mais porteur du mince espoir qui tient l'humain avant la fin des mondes en feu

Désolée, je ne viens pas sur ce forum pour discuter politique et je ne vous permets pas de juger de ma bonne ou mauvaise foi. Par contre votre pseudo et vos seuls messages démontrent votre peu d'intérêt sur le sujet de ce forum, uniquement à des fins politiques.
@"Emma


Et ce, dès le second post de ce topic.

Où est ce sectarisme ? Le jugement de valeur ?
@"Ernest"


Les messages de citoyenne éclairée le prouve.
Elle ne participe au reste du forum, elle est venue ici par simple propagande.
@"RedDragon"


Parait-il qu'on a le droit de parler librement sur le forum Saezlive...
Après si elle est venue juste pour faire part de ses opinions et de son soutien à Jean Luc Mélenchon je ne vois toujours pas où est le mal non plus.

Non mais les proportions que ça prend sérieux, c'est juste pathétique.

La métaphysique change la perspective des Dieux mortels qui se voient dans les miroirs narcissiques de leurs âmes trop salées et amères tels des êtres de néant aux rêves d'absolues et de débauche transgénique dans des bars sombres aux maïs OGM croisés des marguerites et des vaches normandes complètement folles à chercher des trèfles à 4 feuilles dans un champs de coquelicots et de Marguerites qu'elles fument séchées à la chicha autour d'un feu de camps gitan des plus inappropriés à la luxure et à la débauche des sentiments oubliés comme une vielle paire de chaussettes encore sales et odorantes, dont l'odeur fait remonter des souvenirs de cadavres embaumés dans des pyramides sans âge allant tutoyer les étoiles de l'impossible et de l'inespéré rêve de prédire l'avenir au fond d'un verre de bière et étaler leurs déboires aux oreilles de Marie qui s'en trouvait léthargique et saturée, se met à faire tourner sa jupe sous les yeux de René Descartes qui renaît de ses cendres centenaires et philosophe avec Guy Debord, et Marie continue à danser et voilà que René Coty arrive à son tour et Emmanuel Kant le double sur la ligne d'arrivée des courses de trottinettes avec des rollers jaunes et rouges supporters de l'USAP l'Union Satellitaire des Apprentis Philosophes dont le QG n'est autre que chez Betty qui ressssert à boire à qui a soif, abandonnés, délaissés, échoués, recherchant du soutien dans leur verre vide comme leur vie d'insectes insignifiants et condamnés à l'asile de l'ignorance extrême quant à leur devenir si compromis par l'addiction perverse à la littérature d'un temps passé et perdu que Proust cherche encore comme un vivant cherchant la mort dans un placard poussiéreux des balais qui chassent le temps là où on ne peut pas le rattraper et que la douce mélancolie mène au gré des vents sans artifice et vers un but incertain mais porteur du mince espoir qui tient l'humain avant la fin...



La métaphysique change la perspective des Dieux mortels qui se voient dans les miroirs narcissiques de leurs âmes trop salées et amères tels des êtres de néant aux rêves d'absolues et de débauche transgénique dans des bars sombres aux maïs OGM croisés des marguerites et des vaches normandes complètement folles à chercher des trèfles à 4 feuilles dans un champs de coquelicots et de Marguerites qu'elles fument séchées à la chicha autour d'un feu de camps gitan des plus inappropriés à la luxure et à la débauche des sentiments oubliés comme une vielle paire de chaussettes encore sales et odorantes, dont l'odeur fait remonter des souvenirs de cadavres embaumés dans des pyramides sans âge allant tutoyer les étoiles de l'impossible et de l'inespéré rêve de prédire l'avenir au fond d'un verre de bière et étaler leurs déboires aux oreilles de Marie qui s'en trouvait léthargique et saturée, se met à faire tourner sa jupe sous les yeux de René Descartes qui renaît de ses cendres centenaires et philosophe avec Guy Debord, et Marie continue à danser et voilà que René Coty arrive à son tour et Emmanuel Kant le double sur la ligne d'arrivée des courses de trottinettes avec des rollers jaunes et rouges supporters de l'USAP l'Union Satellitaire des Apprentis Philosophes dont le QG n'est autre que chez Betty qui ressssert à boire à qui a soif, abandonnés, délaissés, échoués, recherchant du soutien dans leur verre vide comme leur vie d'insectes insignifiants et condamnés à l'asile de l'ignorance extrême quant à leur devenir si compromis par l'addiction perverse à la littérature d'un temps passé et perdu que Proust cherche encore comme un vivant cherchant la mort dans un placard poussiéreux des balais qui chassent le temps là où on ne peut pas le rattraper et que la douce mélancolie mène au gré des vents sans artifice