La métaphysique change la perspective des Dieux mortels qui se voient dans les miroirs narcissiques de leurs âmes trop salées et amères tels des êtres de néant aux rêves d'absolues et de débauche transgénique dans des bars sombres aux maïs OGM croisés des marguerites et des vaches normandes complètement folles à chercher des trèfles à 4 feuilles dans un champs de coquelicots et de Marguerites qu'elles fument séchées à la chicha autour d'un feu de camps gitan des plus inappropriés à la luxure et à la débauche des sentiments oubliés comme une vielle paire de chaussettes encore sales et odorantes, dont l'odeur fait remonter des souvenirs de cadavres embaumés dans des pyramides sans âge allant tutoyer les étoiles de l'impossible et de l'inespéré rêve de prédire l'avenir au fond d'un verre de bière et étaler leurs déboires aux oreilles de Marie qui s'en trouvait léthargique et saturée, se met à faire tourner sa jupe sous les yeux de René Descartes qui renaît de ses cendres centenaires et philosophe avec Guy Debord, et Marie continue à danser et voilà que René Coty arrive à son tour et Emmanuel Kant le double sur la ligne d'arrivée des courses de trottinettes avec des rollers jaunes et rouges supporters de l'USAP l'Union Satellitaire des Apprentis Philosophes dont le QG n'est autre que chez Betty qui ressssert à boire à qui a soif, abandonnés, délaissés, échoués, recherchant du soutien dans leur verre vide comme leur vie d'insectes insignifiants et condamnés à l'asile de l'ignorance extrême quant à leur devenir si compromis par l'addiction perverse à la littérature d'un temps passé et perdu que Proust cherche encore comme un vivant cherchant la mort

Bon je n'ai pas tout lu, mais j'ai suivi avec attention la première page ( il y a 2/3jours ) et j'ai été assez content et soulagé de voir au moins quelqu'un prendre la défense de "citoyenne eclairee" ( en l'occurrence Kaio ).

Parce que franchement les trucs du genre: " parler politique sur un forum de saez c'est pas cohérent " ou alors " tu t'es trompée d'endroit, je vois pas ce que tu fous là " . Non mais arrêtons les conneries.
C'est un forum bordel, et dans un forum il y a justement plein de topic où c'est bien stipulé " trollage ", " débat divers " etc etc...
Donc à un moment donné ça vous dérange qu'elle soutienne Mélenchon et qu'elle en parle pour avoir des avis différents de la communauté, ben cassez-vous quoi !


Sinon en ce qui concerne Saez et sur le fait qu'il parle politique et tout et tout dans ses chansons... Le jour où les gens comprendront qu'il fait rien que du constat ( et là je rejoins donc melie ) on aura peut-être gagné du temps. Il a dit lui-même que " fils de France " était la seule chanson qui avait une volonté politique et donc d'engagement. Le reste c'est " voilà ce qu'il se passe dans ton pays, ta société, dans ton monde ".

Le talent de Damien Saez ? C'est avant tout une écriture réaliste, en ajoutant la rage et la provoc' !

La métaphysique change la perspective des Dieux mortels qui se voient dans les miroirs narcissiques de leurs âmes trop salées et amères tels des êtres de néant aux rêves d'absolues et de débauche transgénique dans des bars sombres aux maïs OGM croisés des marguerites et des vaches normandes complètement folles à chercher des trèfles à 4 feuilles dans un champs de coquelicots et de Marguerites qu'elles fument séchées à la chicha autour d'un feu de camps gitan des plus inappropriés à la luxure et à la débauche des sentiments oubliés comme une vielle paire de chaussettes encore sales et odorantes, dont l'odeur fait remonter des souvenirs de cadavres embaumés dans des pyramides sans âge allant tutoyer les étoiles de l'impossible et de l'inespéré rêve de prédire l'avenir au fond d'un verre de bière et étaler leurs déboires aux oreilles de Marie qui s'en trouvait léthargique et saturée, se met à faire tourner sa jupe sous les yeux de René Descartes qui renaît de ses cendres centenaires et philosophe avec Guy Debord, et Marie continue à danser et voilà que René Coty arrive à son tour et Emmanuel Kant le double sur la ligne d'arrivée des courses de trottinettes avec des rollers jaunes et rouges supporters de l'USAP l'Union Satellitaire des Apprentis Philosophes dont le QG n'est autre que chez Betty qui ressssert à boire à qui a soif, abandonnés, délaissés, échoués, recherchant du soutien dans leur verre vide comme leur vie d'insectes insignifiants et condamnés à l'asile de l'ignorance extrême quant à leur devenir si compromis par l'addiction perverse à la littérature d'un temps passé

La métaphysique change la perspective des Dieux mortels qui se voient dans les miroirs narcissiques de leurs âmes trop salées et amères tels des êtres de néant aux rêves d'absolues et de débauche transgénique dans des bars sombres aux maïs OGM croisés des marguerites et des vaches normandes complètement folles à chercher des trèfles à 4 feuilles dans un champs de coquelicots et de Marguerites qu'elles fument séchées à la chicha autour d'un feu de camps gitan des plus inappropriés à la luxure et à la débauche des sentiments oubliés comme une vielle paire de chaussettes encore sales et odorantes, dont l'odeur fait remonter des souvenirs de cadavres embaumés dans des pyramides sans âge allant tutoyer les étoiles de l'impossible et de l'inespéré rêve de prédire l'avenir au fond d'un verre de bière et étaler leurs déboires aux oreilles de Marie qui s'en trouvait léthargique et saturée, se met à faire tourner sa jupe sous les yeux de René Descartes qui renaît de ses cendres centenaires et philosophe avec Guy Debord, et Marie continue à danser et voilà que René Coty arrive à son tour et Emmanuel Kant le double sur la ligne d'arrivée des courses de trottinettes avec des rollers jaunes et rouges supporters de l'USAP l'Union Satellitaire des Apprentis Philosophes dont le QG n'est autre que chez Betty qui ressssert à boire à qui a soif, abandonnés, délaissés, échoués, recherchant du soutien dans leur verre vide comme leur vie d'insectes insignifiants et condamnés à l'asile de l'ignorance extrême quant à leur devenir si compromis par l'addiction perverse

La métaphysique change la perspective des Dieux mortels qui se voient dans les miroirs narcissiques de leurs âmes trop salées et amères tels des êtres de néant aux rêves d'absolues et de débauche transgénique dans des bars sombres aux maïs OGM croisés des marguerites et des vaches normandes complètement folles à chercher des trèfles à 4 feuilles dans un champs de coquelicots et de Marguerites qu'elles fument séchées à la chicha autour d'un feu de camps gitan des plus inappropriés à la luxure et à la débauche des sentiments oubliés comme une vielle paire de chaussettes encore sales et odorantes, dont l'odeur fait remonter des souvenirs de cadavres embaumés dans des pyramides sans âge allant tutoyer les étoiles de l'impossible et de l'inespéré rêve de prédire l'avenir au fond d'un verre de bière et étaler leurs déboires aux oreilles de Marie qui s'en trouvait léthargique et saturée, se met à faire tourner sa jupe sous les yeux de René Descartes qui renaît de ses cendres centenaires et philosophe avec Guy Debord, et Marie continue à danser et voilà que René Coty arrive à son tour et Emmanuel Kant le double sur la ligne d'arrivée des courses de trottinettes avec des rollers jaunes et rouges supporters de l'USAP l'Union Satellitaire des Apprentis Philosophes dont le QG n'est autre que chez Betty qui ressssert à boire à qui a soif, abandonnés, délaissés, échoués, recherchant du soutien dans leur verre vide comme leur vie d'insectes insignifiants et condamnés à l'asile de l'ignorance extrême

Lisa Germano - Red thread


http://www.youtube.com/watch?v=RcDZeGW-f-4

" Go to hell... Fuck you ! "

La métaphysique change la perspective des Dieux mortels qui se voient dans les miroirs narcissiques de leurs âmes trop salées et amères tels des êtres de néant aux rêves d'absolues et de débauche transgénique dans des bars sombres aux maïs OGM croisés des marguerites et des vaches normandes complètement folles à chercher des trèfles à 4 feuilles dans un champs de coquelicots et de Marguerites qu'elles fument séchées à la chicha autour d'un feu de camps gitan des plus inappropriés à la luxure et à la débauche des sentiments oubliés comme une vielle paire de chaussettes encore sales et odorantes, dont l'odeur fait remonter des souvenirs de cadavres embaumés dans des pyramides sans âge allant tutoyer les étoiles de l'impossible et de l'inespéré rêve de prédire l'avenir au fond d'un verre de bière et étaler leurs déboires aux oreilles de Marie qui s'en trouvait léthargique et saturée, se met à faire tourner sa jupe sous les yeux de René Descartes qui renaît de ses cendres centenaires et philosophe avec Guy Debord, et Marie continue à danser et voilà que René Coty arrive à son tour et Emmanuel Kant le double sur la ligne d'arrivée des courses de trottinettes avec des rollers jaunes et rouges supporters de l'USAP l'Union Satellitaire des Apprentis Philosophes dont le QG n'est autre que chez Betty qui ressssert à boire à qui a soif, abandonnés, délaissés, échoués, recherchant du soutien dans leur verre vide comme leur vie d'insectes insignifiants et condamnés à l'asile

Amour m'a tué - Cali
@"Alizée"


Copieuse !!! ( bon ok en fait non j'écoute autre chose )


Ridan - Demain


La métaphysique change la perspective des Dieux mortels qui se voient dans les miroirs narcissiques de leurs âmes trop salées et amères tels des êtres de néant aux rêves d'absolues et de débauche transgénique dans des bars sombres aux maïs OGM croisés des marguerites et des vaches normandes complètement folles à chercher des trèfles à 4 feuilles dans un champs de coquelicots et de Marguerites qu'elles fument séchées à la chicha autour d'un feu de camps gitan des plus inappropriés

La métaphysique change la perspective des Dieux mortels qui se voient dans les miroirs narcissiques de leurs âmes trop salées et amères tels des êtres de néant aux rêves d'absolues et de débauche transgénique dans des bars sombres aux maïs OGM croisés des marguerites et des vaches normandes complètement folles à chercher des trèfles à 4 feuilles dans un champs de coquelicots et de Marguerites qu'elles fument séchées à la chicha autour d'un feu de camps gitan
@"Didier"


Je vous avais dit, j'ai jamais de bol... ,A chaque fois "BIM" c'est en même temps.. '-- pffff

La métaphysique change la perspective des Dieux mortels qui se voient dans les miroirs narcissiques de leurs âmes trop salées et amères tels des êtres de néant aux rêves d'absolues et de débauche transgénique dans des bars sombres aux maïs OGM croisés des marguerites et des vaches normandes complètement folles à chercher des trèfles à 4 feuilles dans un champs de coquelicots et de Marguerites qu'elles fument séchées à la chicha autour d'un feu de camps des plus inappropriés

Izia - Pissing in a river ( cover de Patti Smith )


http://www.youtube.com/watch?v=Hkl5a664anw

C'est simple c'est pour moi la plus belle reprise que j'ai entendu à ce jour... ( dans les reprises sur Patti Smith )

Izia quoi ! ♥

Merci zekioflo !
J'ai été très mal informé au final.

18 titres donc...

Et oui il faut acheter l'album !
Hélas il se vend pas très bien depuis sa sortie, et c'est vraiment dommage.
Avec toute la merde française ou internationale qui passe, c'est triste de voir qu'un si bel album passe complétement aux oubliettes...

Bien avant - Benjamin Biolay
@"Alizée"


Ma préférée de toute sa disco ( à égalité avec " négatif )

Tu fais exprès, avoue?!



Ecoute ce bijoux Alizée...
Clarika je suis sur que tu l'as connais pas.


http://www.youtube.com/watch?v=OwFkDRZH3Fo

Tou-lou-sains ! Tou-lou-sains !
@"Alizée"


BORDEAUX BEGLES BORDEAUX BEGLES !!!

This Mess We're In - PJ Harvey / Thom Yorke

putain de découverte, merci jej33
@"Alizée"


Y'avait de forte chance que tu aimes Polly Jean !

C'est une perle, bien trop oublié...




http://www.youtube.com/watch?v=UYhZq1CaX8o

Un classique toujours aussi jouissif.

Confession du soir, bonsoir.

Quand je suis dans mon pub favori, et qu'après quelques verres je vais vidanger ma vessie, je pense toujours à celiate et sa théorie selon laquelle c'est en essayant de pisser qu'on réalise qu'on est bourré

Sur ce, bonne nuit.
@"blat"


Enorme !
J'ai également cette sensation qui revient toujours lors d'une soirée plus qu'arrosée...

Bon courage pour demain.

 Petite plume

Petite fleur
Petite dune
Je t’imagine
Telle une plume

Petite solitude
Petite soeur
Pas d’amertume
Je t’ai dans l’coeur

Petite bourgeoise
Petite reine
T’es bien sournoise
Mais tellement belle

Petite chipie
Petite merveille
Ta grande magie
Est sans pareille

Petite plume

Petite nature
Petite feuille
Sens mes ratures
Et mon orgueil

Petite sainte
Petite touche
De perfection
Qui se frimousse

Petite langue
Petite française
Lorsque tu trembles
J’écris foutaise

Petite tendresse
Petite saveur
De liberté épaisse
au goût d'ailleurs

Petite plume.

Jérémy
28/04/13


C'est là qu'on voit les fans de Biolay, minuit au lit
@"Didier"


Ben le truc c'est que maintenant si je rajoute ma sauce j'ai de grande chance de le faire en même temps qu'Alizée.. Donc bon je laisse le flambeau.

Bonne nuit.

Continuez. A trois c'est trop compliqué ! On va marcher sur nos propres mots...

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition

bah j'ai effacé. j'avais deux trains de retard...

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité

Tiens prends ça dans ta gueule l'humain ( pas toi spécialement hein, nous tous )

Alizée elle m'empêche de dormir à cause du jeu de la phrase qui ne s'arrête jamais malgré l'incohérence évidente de cette dernière...

Au secouuuuuuurs !!!!!

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine

oui c'est ça. la virgule n'a pas lieu d'être c'est pour ça...

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté, berceuse d'une vie imagée