En même temps, faut être honnête, la proposition de Mélenchon était une provocation :
Mais ça permet à Mélenchon de sauver les apparences et de pouvoir dire "vous voyez qu'il est méchant".
Déjà que tu votes Macron dès le 1er tour...admettons, on est pas à une incohérence près
Mais que tu essaies de critiquer Mélenchon ici ainsi que son positionnement expliqué très clairement en vidéo pendant +20mn, ça passe moyen.
Ah ben à vous lire je suis totalement rassurée : j'ai jamais fait espagnol de ma vie, j'pige que dalle à Guantanamo, mais elle sonne bien et me permet de chanter en yaourt le matin dans ma bagnole.
Et vu ce que je lis, je peux continuer sans aucun scrupule pour l'espagnol, je ne peux pas massacrer plus la langue que ne l'a déjà fait Saez. Cool
Très drôle^^
En même temps, un type qui commence à bosser à 11h34, t'espères quand même pas qu'on va te plaindre en plus ?
Non non, je commence à 12h même mais je termine à 20h.
Le truc génial étant de m'occuper du petit jusqu'à 11h tous les matins, que du bonheur de pas le laisser si petit à 8h à la crèche.
A mon avis, vous inversez tout.
Ce sourire de « caïd », c'est pas parce qu'il fume ou qu'il boit.
C'est cette sensation de puissance que lui offre la musique et un public déchainé qui lui donne le sourire. Et comment profiter le plus pleinement possible de cette sensation de puissance autrement qu'en fumant et en buvant un coup.
D'accord avec la première partie moins avec la seconde, il est pas obligé de l'exprimer avec un verre et une clope, c'est un détail mais je trouve ça gênant par moment.
On discute mais comme Kaio, on s'en branle
Je ne dis pas que des conneries vous savez, il m'arrive d'être sobre et sérieuse.
ça n'a pas duré très longtemps, ta période de sobriété a donc été très courte
Du piano 😍 Lulu, ma gueule, en bords de Seine... tango, il y a ton sourire (on peut rêver!)
Plusieurs dates à Paris pour qu'on se retrouve tous à nouveau 🙃
<3
Récital uniquement piano + final Notre-Dame Mélancolie tout le monde debout, ambiance à son apothéose, il achève la salle avec "Si" à l'orgue, spectacle d'anthologie.
sinon c'est amusant moi j'aime bien le coté pas de mise en scène juste du gros son...après je peux comprendre les autres critiques, même si je suis pas forcément d'accord sur toutes.
Y a un décalage dans la proposition du Manifeste, des scènes cinématographiques pour refaire exactement le même concert depuis 10 ans, en rajoutant juste 3-4 chansons.
Les oeuvres permettent de donner un peu de dimension mais quand tu enchaînes juste après avec "Des p'tits sous", ça manque de mise en scène.
"Lulu" avait largement les épaules, et c'est hyper frustrant de découvrir un nouvel album, de baigner dans les chansons et de se retrouver avec du "Into the Wilds".
Non mais je vous jure qu'il a neigé 5min (d'ailleurs mon DRH veut me virer parce que j'ai ramassé le store alors qu'il fumait sa clope en dessous)
Je confirme, il a neigé à la Défense....des perles qui tombent toussa toussa
Les seuls responsables seront ceux qui ont voté pour...
Mais les victimes seront bien plus nombreuses.
Ceux qui ne supportent pas la dictature libérale de l'Europe, dites vous bien que la destruction de l'Europe ça va être le triomphe de la concurrence entre les pays européens et qu'il va y avoir des morts.
L'Allemagne va nous écraser car elle aura une monnaie bien plus forte que la notre, l'Espagne va sombrer soit dans la crise économique totale soit être obligée de prendre des mesures encore pires que celles qu'ils ont prises et saigner toute la population.
Les grands perdant d'une victoire de Le Pen risque d'être non seulement nous même, mais aussi les peuples qui nous entourent.
La sortie de l'euro sera une aubaine pour l'Allemagne mais une catastrophe pour les autres ...
Supposons donc, pour l’expérience de pensée, que nous soit échue la bénédiction d’un gouvernement authentiquement de gauche. Que peut-il mettre en œuvre qui ne se heurte aussitôt à la contrainte des traités ? Rien. Quelles solutions lui reste-t-il alors ? Trois.
• Plier, comme Tsipras — et fin de l’histoire.
• Entreprendre hardiment la bataille de la transformation de l’intérieur. Mais avec quels soutiens ? La désynchronisation des conjonctures politiques nationales nous offrira ce qu’elle peut en cette matière, c’est-à-dire pas grand-chose — comme l’a vécu la Grèce. L’alter-européisme nous prie dans ce cas d’attendre le grand alignement des planètes progressistes pour qu’advienne la nouvelle Europe — pourvu que le premier gouvernement de gauche soit encore en place au moment où la cavalerie des autres le rejoindra…
• Désobéir. Mais il faut n’avoir rien appris des expériences de Chypre et de la Grèce pour imaginer le noyau libéral des institutions et des Etats-membres laisser faire sans réagir. Comme on le sait désormais, c’est la Banque centrale européenne (BCE) qui a les moyens de mettre un pays à genoux en quelques jours, en mettant sous embargo son système bancaire. Sans doute y regarderait-elle à deux fois, considérant la possibilité de dommages collatéraux cataclysmiques. Elle n’en a pas moins tous les instruments permettant de régler finement l’asphyxie pour trouver son optimum punitif : tuer la croissance par étranglement du crédit sans pour autant mettre les banques à terre. Ceci pour ne rien dire de toutes les procédures de représailles inscrites dans les traités mêmes.
Reprenons : si l’alternative est que « l’Europe, on la change ou elle meurt », alors elle meurt. Car ça n’est pas une parodie de démocratie au rabais qui la maintiendra en vie bien longtemps. La question alors se déplace : elle n’est plus celle de la chimère « Union européenne démocratique » supposément obtenue par mutation de l’Union actuelle, mais celle du meilleur moyen de mettre un terme à l’irrémédiable despotisme néolibéral européen.
Au point d’incapacité à se transformer où elle en est, l’Union européenne n’a plus que le choix des modalités de sa disparition : dans l’acharnement et la déflagration terminale ou par un processus ordonné de déconstruction. Ordonné, c’est-à-dire mutuellement agréé, une sorte d’accord de dissolution coopérative, à froid — au demeurant s’il y a bien un point de convergence qui risque d’émerger de plus en plus, c’est celui de l’intérêt bien compris de tous à arrêter les frais.
Un tel processus ordonné pourrait d’ailleurs revêtir différentes formes. Celle du simple retour aux échelons nationaux, n’excluant nullement de maintenir (puis d’approfondir) les coopérations à géométrie variable déjà en place (industrielles, scientifiques, etc.) mais hors de toute intégration formelle. Ou celle d’une proposition ouverte de reconstruction « européenne » — « européenne » avec guillemets puisque, bien sûr, son périmètre ne saurait être celui ni de la défunte UE ni de son eurozone, dès lors qu’elle inviterait les États qui le voudraient — et certains ne le veulent pas — à se retrouver autour d’un principe d’organisation démocratique réelle des domaines d’intégration (dont il est au demeurant probable qu’ils ne puissent aller jusqu’à la constitution d’une communauté politique complète). C’est dans ce genre de directions en tout cas que le « Lexit » (Left Exit) trouve son sens, pour qui voudra bien au moins se donner la peine d’observer que le mot « Lexit » même n’est formé à partir de la contraction d’aucun nom de pays, et atteste par là sa conformité à un internationalisme bien compris.
Par un paradoxe cruel, il apparaît de plus en plus que, sous couleur de vertu, l’alter-européisme œuvre en fait involontairement pour le pire. Non pas par le projet en soi d’une « autre Union européenne », mais par le refus de principe d’envisager la moindre forme de rupture, qui le voue à l’inexistence dans le spectre déjà difficilement accessible de l’offre politique, notamment quand le ressentiment populaire à l’endroit de l’UE a légitimement franchi ses points critiques, peut-être ses points de non-retour. Les projets de « transformation démocratique » de l’Europe, à la façon du DiEM25 de Varoufakis, qui se propose de perdre dix nouvelles années à poursuivre une chimère, ouvrent des boulevards aux extrêmes droites européennes qui ne doivent pas en revenir d’avancer ainsi sans rencontrer la moindre résistance (lire « DiEM perdidi »). Le stéréotype de « la nature politique qui a horreur du vide » a beau être usé jusqu’à la corde, il continue de dire quelque chose de vrai. Les extrêmes droites, qui n’en demandent pas tant, demeurent seules à capter le discours de l’eurocritique et surtout à en imposer la forme.
Un comble de l’aberration politique, et presque logique, aura conduit certains à gauche à poser que, puisque le Brexit menaçait de prendre la forme d’une sortie par la droite, il était urgent de faire taire le « Lexit » (8) qui ne pouvait, « dans ces conditions », qu’alimenter son contraire — soit le syllogisme même de la défaite : puisque la sortie est sortie par la droite, tout discours de sortie nourrit immanquablement la sortie par la droite… Ou l’art de se donner raison pour le pire : à force d’interdire toute pensée de la sortie par la gauche, et de laisser prospérer sans la moindre opposition le discours de la sortie par la droite, il se pourrait bien, en effet — en tout cas on aura tout fait pour — que, si sortie il y a… elle se fasse par la droite.
j'ai un peu l'impression de petits blancs qui oublient que
Ma femme et mon fils ont des prénoms arabes comme on dit, et justement, mieux vaut prôner la mixité, l'humanisme, la question est sociale et restera sociale, en faisant le choix de Macron, on laisse 5 ans de plus à la caste qui gouverne. La France est une société de caste, il y a aussi des très bons bouquins, c'est là-dessus que ce joue l'avenir du pays et rien d'autre.
Déjà l'Anarchie c'est pas le communisme, c'est même quelque part le contraire......
Juste là-dessus, tu pars mal, tu sembles confondre l'idéal communiste porté en France et le communisme à travers le monde, ça fausse totalement ta perception de ce qu'est le communiste.
Damien Saez, par exemple, préfère parler d'humanisme
Je vois pas en quoi ce serait réécrire l'histoire si ces gens ont existé
Ah j'ai eu peur, moi c'était le "ont rejoint" qui historiquement ne tient pas
il n'y a pas si longtemps les communistes et les anars ont rejoint De Gaulle.
Encore une fois, il ne faut pas réécrire l'histoire ou penser la connaître

Et c'est pas moi qui est fait cette réponse mais de mémoire, Peb
Euh. Anarchiste et tu défend le capital, même, tu le cautionnes en votant pour Macron. Contradictoire et hypocrite.
Mais les gens ne se mettent jamais face à leur contradiction, c'est dur parfois d'accepter qu'on s'est trompé
Poutine national? Lol
Poutine patriote plutôt... Faut pas tout confondre je pense.
Bah voilà, société, on est là avec des réflexions aussi réductrices.
Réduire la pensée à des comparaisons faussées.
Le communisme n'a jamais existé, sa théorie réelle ne s'est jamais appliqué a cause du fachisme que ces sociétés barbares ont instauré avec cette bannière rouge, récupéree
Presque pareil

