J'aime bien lire ta poésie. C'est beau ce que tu écris. Bravo !

De toute façon, ils le donnent presque. Mon brevet, je l'avais sans le passer.

Tu l'as eu ton Bac, du coup, avec mention ?
Pour la vidéo, moi, je la veux bien. De la danse sur du Saez, c'est pas tous les jours qu'on en voit !

C'est bien ! Je t'invite à continuer !

C'est bien mais s'il y avait quelque chose à redire, ce serait que tu zappes un peu la ponctuation (tout comme notre Ami), mais sinon c'est pas mal !

Bon anniversaire Sandy et Antoine également

Vous savez sûrement ou avez sûrement remarqué que Saez utilise beaucoup la métaphore du "bateau". Cette métaphore est, me semble-t-il, souvent utilisée pour parler de l'amour mais je crois qu'il s'en sert faire comprendre autre chose qui m'échappe. Avez-vous une idée ?
Par exemple, dans "Châtillon-sur-Seine", quand il dit " toi la fille des bateaux, la fille de militaire(s)", qu'exprime-t-il ? Il y en a beaucoup d'autres mais déjà celui-ci m'intrigue. Merci par avance !

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi,

Survole le bouton "j'y étais !", il devient "je n'y étais pas ?" pour supprimer en cas d'erreur
@"blat"
moi ça le fait pas

Ouais mais sans être méchant aujourd'hui avec l'alcool c'est Bibendum le type

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de

Bon du coup je vais me pencher sérieusement sur ce que tu fais histoire de pas trop te raconter de la merde t'as tout sur ton blog vas y envoie CV et cie et je vais bosser sur ton profil là et je reviens dans quelques heures nan mais parfois je suis sérieuse

Ta première partie:
_____________________________

Mon psy m’a dit de tenir un journal. Pour évacuer mes idées. Il pense que ça me fera du bien. Écrire quand ça va pas. Puis quand ça va un peu, aussi. Mettre à l’écrit ce qui me passe par la tête. Selon lui, ça m’aidera à aller mieux. À prendre du recul. Comme si j’en avais pas déjà assez du recul…

Peut être qu’il a raison. J’en sais rien. C’est lui l’expert après tout. Mais moi, j’hésite encore. Je sais pas trop pourquoi… Je me vois pas écrire un « journal ». C’est pas pour les enfants ça, écrire un journal ? Et puis j’y mettrais quoi dedans ? Mes rêves ou mes cauchemars ? Mes pensées ou mes actions ? C’est pas aussi simple qu’on le pense. Faut savoir par quoi commencer avant tout.

Mais je sais que c’est à la mode. Y a pas une journée qui passe sans que je vois une vidéo en parlant. J’ai l’impression que tout le monde en tient un, de journal. Ou alors c’est peut être que je passe trop de temps sur mon ordi. Je sais pas. Peut être que je deviens comme ces gens qui regarde tellement de porno qu’ils commencent à penser que leurs putains de vidéos sont la norme et que c’est le délire de tout le monde de se faire pisser dessus. Peut être que je suis comme eux au final. Mais avec les journaux, pas le porno. Si il faut, c’est vraiment un truc de gamins. Un jeu de cours d’école. Si il faut, personne n’en tient réellement et c’est juste un argument commercial. Un complot mondial de la confrérie des vendeurs de cahier. Ouais, non, là, je raconte n’importe quoi…

Et puis, y a un truc qui me dérange avec le journal. Écrire, encore, pourquoi pas. Ça fait longtemps que je ne l’ai plus fait mais ça peut être amusant. Peut être que c’est comme le vélo, qu’on oublie jamais totalement, qu’il suffit de prendre un stylo et que tout nous revient instantanément. Alors, écrire, oui, pourquoi pas. Mais… écrire, pour qui ? C’est ça, le vrai problème… Écrire pour qui ?

Dis, tu la connais toi aussi la solitude ?
_____________________________

Donc là, en lisant j'ai remarqué qu'y avait un rythme ternaire à développer, qui percute trois protagonistes : le psy / l'écrivain / le lecteur:

- Tu pourrais tirer vers plus de "troubles d'extériorisations du dedans/dehors " que tu inities en énonçant le verbe "évacuer", tu pourrais illustrer les questionnements avec un mouvement plus du tourbillonnement qui vire vers la frontière complexe de folie/normalité et qui se confronterait entre les désirs de ton psy et ton rapport à l'écriture et de comment l'envisager et la mettre en forme...

_ L'interpellation du lecteur est bien parce qu'elle crée un rapport au réel qui calme cet espace sous terrain de brouillard des questionnements intérieurs, et dans cette valse tu pourrais réussir à créer des piques qui happe le lecteur au moment où tu l'interroges pour directement controverser ce rythme et passer à un plan plus horizontal presque binaire où tu parlerais au lecteur comme un direct.
et tu rentres au coeur du sujet de ce que tu as à dire direct dans le coeur !

je continue où t'as rien capté?
@"Anne
Oui je vais chier et alors ?

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre

Un sujet inutile ! Ça me connais ça ! Bon allez les modos vous savez quoi faire, hein ?

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil

"Et si la couche d'ozone était une banque, crois-moi on l'aurai d'jà sauvée !"
Senamo, Seyté et Mani Deiz

Présente à l'apéro, mais peut-être pas au pique-nique. Sauf si j'embarque ma cousine
@"Alizée"
Tu organises un truc auquel tu ne participes pas ?

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver

Très bien écrit mec ton texte derouilleetd'os bravo. Je suis heureux que tu me qualifie comme ça franchement merci 😊 !

En étant persuadée qu'il pense à toi plutôt

Bon anniv' Nulie ! Un quart de siècle, OUAIS !!!!! Et bon anniv' slinteur (perso je te connais pas)

-------- Le Goéland ferme. Fnuck fnuck et re-fnuck quoi.
http://www.goeland.fr/
@"Isa"
\o/ comment c'est possible !

"L'homme est odieux.
Il est capable de taper sa femme, violer sa fille, tuer au nom de Dieu"

Senamo, Seyté et Mani Deiz

On me chuchote dans l'oreillette que j'ai posté plus de 11 000 messages.
ONZE MILLE MESSAGES QUOI.

J'en reviens toujours pas.


(et j'ose pas imaginer le paquet de trucs cons que j'ai raconté dans ces milliers de messages )
@"Isa"