Ouais oups (PS : pas d'apostrophe )

Il est auteur, compositeur, interprète, musicien, très bon en improvisation et il est vivant.
@"éoline"
Saez ? (Ok, je sors -->)

Il faut quand même reconnaitre les règles de l'orthographe et le nombre "d'exceptions" ridicules que nous avons comparé aux autres langues beaucoup plus logiques. Fotes, et fautes. Ecrithure et pllummes. Ce sont des illogismes : ils sont faux. "Fautes" sonne comme il s'écrit. "Clé" sonne comme il s'écrit.

Clef, oignons, événement, c'est l'inverse : ce sont "nos mots acquis" qui sont des illogismes en vertu des règles orthographiques. C'est là que tu autorises la faute d'orthographe, par l'exception. Ces mots ne se prononcent pas comme ils s'écrivent. C'est votre mémoire qui fait le travail ; à quoi sert donc la règle ?

Dans la réforme de l'orthographe, le circonflexe reste pour les terminaisons verbales et dans les cas où il s'entend, ou bien dans les cas où il change véritablement la prononciation. C'est dans le cas de coût, cout, entraîner, entrainer, paraître, paraitre, qu'il disparait ; parce qu'il ne sert à rien et qu'il est ridiculement inutile.

Pareil pour Aiguë/Aigüe : c'est nous qui étions fous

Enfin du moins perso je ne comprends pas l'intérêt de faire une règle si c'est pour faire en sorte que 13 mots aléatoires ne l'appliquent pas. (mais ça fait très grammar nazi psychorigide comme phrase, en vrai )
@"ProletaRien"


Désolé mais je suis élitiste je crois.
Ya pas 400000 mots quand même.
J'aime pas les gens sans mémoire par rapport à ça. C'est preuve que souvent tu ne lis pas quoi... Donc bon. C'est lié. J'aime pas la feignantise
@"Peb'"


Je pense un peu comme toi @Peb' mais dans certains cas malheureusement c'est de la faute des parents, ou une faute liée à une maladie, etc. On ne choisit pas forcément ou on tombe. Je suis d'une famille très modeste qui vit à la campagne. Mon père est nul en français et n'a même pas le brevet mais heureusement que j'ai eu ma mère, qui possède un BAC+2 et qui m'a fait aimé la langue de Molière. Sans elle, je ne serai sûrement pas ce que je serai aujourd'hui, il faut donc relativiser : tout n'est pas tout noir et tout n'est pas tout blanc, il y a aussi du gris

Je trouve très intéressant ce que tu dis @ProletaRien et je en grande majorité d'accord avec toi, mais je ne te rejoins pas sur un point : dire que les accents circonflexes sont des "aberrations" est pour moi un peu fort et fait perdre tout leur sens aux mots. Un mots comprenant un accent circonflexe, nous rappelle qu'avant il comprenait un "s" et que l'on l'a remplacé par cet accent. On finira par oublier alors l'origine du mot et de là, sa signification.Je suis pour ma part contre cette initiative.

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait

À toi LucioLLe !

PS : vous n'avez pas des chansons sorties après ma naissance car pour moi sinon c'est un peu dur...

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais

Citoyens,

Je veux vous dire ce soir que jamais nous n'avons été, que jamais depuis quarante ans l'Europe n'a été dans une situation plus menaçante et plus tragique que celle où nous sommes à l'heure où j'ai la responsabilité de vous adresser la parole. Ah! citoyens, je ne veux pas forcer les couleurs sombres du tableau, je ne veux pas dire que la rupture diplomatique dont nous avons eu la nouvelle il y a une demie heure, entre l'Autriche et la Serbie, signifie nécessairement qu'une guerre entre l'Autriche et la Serbie va éclater et je ne dis pas que si la guerre éclate entre la Serbie et l'Autriche le conflit s'étendra nécessairement au reste de l'Europe, mais je dis que nous avons contre nous, contre la paix, contre la vie des hommes à l'heure actuelle, des chances terribles et contre lesquelles il faudra que les prolétaires de l'Europe tentent les efforts de solidarité suprême qu'ils pourront tenter.

Citoyens, la note que l'Autriche a adressée à la Serbie est pleine de menaces et si l'Autriche envahit le territoire slave, si les Germains, si la race germanique d'Autriche fait violence à ces Serbes qui sont une partie du monde slave et pour lesquels les slaves de Russie éprouvent une sympathie profonde, il y a à craindre et à prévoir que la Russie entrera dans le conflit, et si la Russie intervient pour défendre la Serbie, l'Autriche ayant devant elle deux adversaires, la Serbie et la Russie, invoquera le traité d'alliance qui l'unit à l'Allemagne et l'Allemagne fait savoir qu'elle se solidarisera avec l'Autriche. Et si le conflit ne restait pas entre l'Autriche et la Serbie, si la Russie s'en mêlait, l'Autriche verrait l'Allemagne prendre place sur les champs de bataille à ses côtés. Mais alors, ce n'est plus seulement le traité d'alliance entre l'Autriche et l'Allemagne qui entre en jeu, c'est le traité secret mais dont on connaît les clauses essentielles, qui lie la Russie et la France et la Russie dira à la France :

"J'ai contre moi deux adversaires, l'Allemagne et l'Autriche, j'ai le droit d'invoquer le traité qui nous lie, il faut que la France vienne prendre place à mes côtés." A l'heure actuelle, nous sommes peut-être à la veille du jour où l'Autriche va se jeter sur les Serbes et alors l'Autriche et l'Allemagne se jetant sur les Serbes et les Russes, c'est l'Europe en feu, c'est le monde en feu.

Dans une heure aussi grave, aussi pleine de périls pour nous tous, pour toutes les patries, je ne veux pas m'attarder à chercher longuement les responsabilités. Nous avons les nôtres, Moutet l'a dit et j'atteste devant l'Histoire que nous les avions prévues, que nous les avions annoncées; lorsque nous avons dit que pénétrer par la force, par les armes au Maroc, c'était ouvrir l'ère des ambitions, des convoitises et des conflits, on nous a dénoncés comme de mauvais Français et c'est nous qui avions le souci de la France.

Voilà, hélas! notre part de responsabilités, et elle se précise, si vous voulez bien songer que c'est la question de la Bosnie-Herzégovine qui est l'occasion de la lutte entre l'Autriche et la Serbie et que nous, Français, quand l'Autriche annexait la Bosnie-Herzégovine, nous n'avions pas le droit ni le moyen de lui opposer la moindre remontrance, parce que nous étions engagés au Maroc et que nous avions besoin de nous faire pardonner notre propre péché en pardonnant les péchés des autres.

Et alors notre ministre des Affaires étrangères disait à l'Autriche:

"Nous vous passons la Bosnie-Herzégovine, à condition que vous nous passiez le Maroc" et nous promenions nos offres de pénitence de puissance en puissance, de nation en nation, et nous disions à l'Italie. "Tu peux aller en Tripolitaine, puisque je suis au Maroc, tu peux voler à l'autre bout de la rue, puisque moi j'ai volé à l'extrémité."

Chaque peuple paraît à travers les rues de l'Europe avec sa petite torche à la main et maintenant voilà l'incendie. Eh bien! citoyens, nous avons notre part de responsabilité, mais elle ne cache pas la responsabilité des autres et nous avons le droit et le devoir de dénoncer, d'une part, la sournoiserie et la brutalité de la diplomatie allemande, et, d'autre part, la duplicité de la diplomatie russe. Les Russes qui vont peut-être prendre parti pour les Serbes contre l'Autriche et qui vont dire "Mon cœur de grand peuple slave ne supporte pas qu'on fasse violence au petit peuple slave de Serbie. "Oui, mais qui est-ce qui a frappé la Serbie au cœur? Quand la Russie est intervenue dans les Balkans, en 1877, et quand elle a créé une Bulgarie, soi-disant indépendante, avec la pensée de mettre la main sur elle, elle a dit à l'Autriche "Laisse-moi faire et je te confierai l'administration de la Bosnie-Herzégovine. "L'administration, vous comprenez ce que cela veut dire, entre diplomates, et du jour où l'Autriche-Hongrie a reçu l'ordre d'administrer la Bosnie-Herzégovine, elle n'a eu qu'une pensée, c'est de l'administrer au mieux de ses intérêts."

Dans l'entrevue que le ministre des Affaires étrangères russe a eu avec le ministre des Affaires étrangères de l'Autriche, la Russie a dit à l'Autriche: "Je t'autoriserai à annexer la Bosnie-Herzégovine à condition que tu me permettes d'établir un débouché sur la mer Noire, à proximité de Constantinople." M. d'Ærenthal a fait un signe que la Russie a interprété comme un oui, et elle a autorisé l'Autriche à prendre la Bosnie-Herzégovine, puis quand la Bosnie-Herzégovine est entrée dans les poches de l'Autriche, elle a dit à l'Autriche : "C'est mon tour pour la mer Noire." - "Quoi? Qu'est-ce que je vous ai dit? Rien du tout !", et depuis c'est la brouille avec la Russie et l'Autriche, entre M. Iswolsky, ministre des Affaires étrangères de la Russie, et M. d'Ærenthal, ministre des Affaires étrangères de l'Autriche ; mais la Russie avait été la complice de l'Autriche pour livrer les Slaves de Bosnie-Herzégovine à l'Autriche-Hongrie et pour blesser au cœur les Slaves de Serbie.

C'est ce qui l'engage dans les voies où elle est maintenant.

Si depuis trente ans, si depuis que l'Autriche a l'administration de la Bosnie-Herzégovine, elle avait fait du bien à ces peuples, il n'y aurait pas aujourd'hui de difficultés en Europe; mais la cléricale Autriche tyrannisait la Bosnie-Herzégovine; elle a voulu la convertir par force au catholicisme; en la persécutant dans ses croyances, elle a soulevé le mécontentement de ces peuples.

La politique coloniale de la France, la politique sournoise de la Russie et la volonté brutale de l'Autriche ont contribué à créer l'état de choses horrible où nous sommes. L'Europe se débat comme dans un cauchemar.

Eh bien! citoyens, dans l'obscurité qui nous environne, dans l'incertitude profonde où nous sommes de ce que sera demain, je ne veux prononcer aucune parole téméraire, j'espère encore malgré tout qu'en raison même de l'énormité du désastre dont nous sommes menacés, à la dernière minute, les gouvernements se ressaisiront et que nous n'aurons pas à frémir d'horreur à la pensée du cataclysme qu'entraînerait aujourd'hui pour les hommes une guerre européenne.

Vous avez vu la guerre des Balkans; une armée presque entière a succombé soit sur le champ de bataille, soit dans les lits d'hôpitaux, une armée est partie à un chiffre de trois cent mille hommes, elle laisse dans la terre des champs de bataille, dans les fossés des chemins ou dans les lits d'hôpitaux infectés par le typhus cent mille hommes sur trois cent mille.

Songez à ce que serait le désastre pour l'Europe: ce ne serait plus, comme dans les Balkans, une armée de trois cent mille hommes, mais quatre, cinq et six armées de deux millions d'hommes. Quel massacre, quelles ruines, quelle barbarie! Et voilà pourquoi, quand la nuée de l'orage est déjà sur nous, voilà pourquoi je veux espérer encore que le crime ne sera pas consommé. Citoyens, si la tempête éclatait, tous, nous socialistes, nous aurons le souci de nous sauver le plus tôt possible du crime que les dirigeants auront commis et en attendant, s'il nous reste quelque chose, s'il nous reste quelques heures, nous redoublerons d'efforts pour prévenir la catastrophe. Déjà, dans le Vorwaerts, nos camarades socialistes d'Allemagne s'élèvent avec indignation contre la note de l'Autriche et je crois que notre bureau socialiste international est convoqué.

Quoi qu'il en soit, citoyens, et je dis ces choses avec une sorte de désespoir, il n'y a plus, au moment où nous sommes menacés de meurtre et, de sauvagerie, qu'une chance pour le maintien de la paix et le salut de la civilisation, c'est que le prolétariat rassemble toutes ses forces qui comptent un grand nombre de frères, Français, Anglais, Allemands, Italiens, Russes et que nous demandions à ces milliers d'hommes de s'unir pour que le battement unanime de leurs cœurs écarte l'horrible cauchemar.

J'aurais honte de moi-même, citoyens, s'il y avait parmi vous un seul qui puisse croire que je cherche à tourner au profit d'une victoire électorale, si précieuse qu'elle puisse être, le drame des événements. Mais j'ai le droit de vous dire que c'est notre devoir à nous, à vous tous, de ne pas négliger une seule occasion de montrer que vous êtes avec ce parti socialiste international qui représente à cette heure, sous l'orage, la seule promesse d'une possibilité de paix ou d'un rétablissement de la paix.


Le voici. Pourquoi ce choix ?

JE TE SOUTIENS, MOI AUSSI J'EN CHIE SOUVENT

Bonjour à tous !
Voilà, j'aime beaucoup l'Histoire avec un grand H et je ne pense pas être le seul dans ce cas donc je vous propose de venir ici, partager les moments de l'Histoire que vous trouvez intéressants.
Cependant, il y a quelques règles :
- vous devez mentionner la date historique de l'évènement (je sais ça paraît logique mais on sait jamais )
- vous devez mentionner le nom de l'évènement (idem )
- vous devez expliquer la raison de votre choix
À vous de jouer !

Bush (fils) est bien resté au pouvoir alors avant de virer Trump, y a du chemin...

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qu'il l'avait découvert il y a longtemps

Peut-être quand Julien va enfin se décider à parler…
@"francois19"
Encore un ! Comme dans les séries

Brassens ? (j'dis comme ça mais en fait j'en sais rien)

Tu t'es planté JoannLataste
@"Alizée"


Problème de co, désolé

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu dont la morve coula dans

J'aime bien les référence que tu as faites, avec idem, avec le fait qu'on lui dise que Lulute parle trop, le fait que les moineaux c'est cliché... Je trouve que tu as raconté une suite plutôt drôle !

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses, car elle aime beaucoup la couleur

J'en ai marre, c'est jamais des paroles que je connais !!

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était...

Bon comme personne s'y met, je m'en charge :
Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...

Comme vous pourrez le constater dans le prochain épisode.
@"francois19"


Ah, pas ça...