De la mort des pensées des résistances neurones, des restes de fêtes, d’alcool, la vrille des ivresses, les impostures des corps éthérés, éméchés, les brises des vapeurs d’éthanol.
T'en fais quoi des idéaux et des idées lancés hautes ?
Des marées basses en mer céleste.
D'quoi s'faire part belle des lettres imaginaires.
Sortir des couches, dépecer son âme et l'accouder aux comptoirs des solstices improvisés. toujours l'printemps ou l'été, le moral des automne et l'air glacial des hivers domiciliés sans armature.
On emmerde la poésie et ses formes établies, comme les Etats et ses putréfactions irraisonnées.
On s'emmerde dans les verres c'est le flot des ritournelles.
On s'amenuise dans nos vers c'est l'îlot des rêves.
J'aime beaucoup ....