Allez, vas-y, balance!!! 😉

Rhoo... Il commence à me faire rêver en parlant de mots et poésie... Et ça finit par des seins nus. 🤔

Nous allons bientôt nous re-rencontrer. 😊

Sauf qu'il ne parle pas de lui.

Il a bien fait La lutte le 23 (je tournais à l'eau gazeuse, ça cautionne mes propos 😝).

Non mais quand j'ai lu "Le futur du site?" ça m'a fait la même chose que l'orque j'ai lu "Le dernier disque". Mon pauvre petit coeur ne va pas tenir.


l'orque de barbarie ?





Pardon, je suis déjà parti...

Mais euh, correcteur auto. Ça y est j'ai corrigé. 😜

Non mais quand j'ai lu "Le futur du site?" ça m'a fait la même chose que lorsque j'ai lu "Le dernier disque". Mon pauvre petit coeur ne va pas tenir.

Bon, je vais essayer, mais je ne sais pas trop par où commencer, je ne suis toujours pas redescendue. Alors je vais le faire dans la chronologie.
En premier le 21. Une date inoubliable. Tout d'abord à cause du lieu, rempli de souvenirs. Cette atmosphère particulière parce que c'est la première fois que j'y remets les pieds depuis... Avec ces flashs atroces qui décuplent les émotions. L'attente. Puis Damien qui entre en scène. Enfin... Ça fait 3 ans qu'on l'attend et il est LÀ. Les enfants paradis, Mon pays je t'écris, un Damien ému, obligé de s'arrêter à plusieurs reprises à cause de cette ambiance très lourde remuant une multitude d'émotions. Les pleurs, les souvenirs, cet indescriptible moment de communion entre lui et nous. Tout est dans la retenue, autant de son côté que du notre. Sa voix est posée, merveilleusement belle et le public respectueux. Les "lalalalala" de À ton nom susurrés par le public, quel pied! Cette date à quelque chose que celui qui n'y a pas assisté ne pourra jamais comprendre. Quelques explications sur ses textes qui permettent de comprendre ce que personne n'aurait plus deviner. Bref, l'album prend un tout autre sens et une autre dimension quand il a été vécu ce soir du 21 décembre.
Puis le 22. Beaucoup plus léger. Un Damien et un public un peu plus détendus. L'ambiance est différente, c'est certainement mieux, mais moi j'aime moins. Je n'arrive pas à être dedans lors de la première partie. Je pense que je n'ai toujours pas digéré le concert de la veille et tout est encore très confus pour moi.
Et enfin le 23. Ambiance magnifique avec un public qui a réussi à ne pas lui faire chanter Le dernier disque. Moment magique également lors du God Blesse America. Un Damien très communicatif qui se perd dans ses discours pas toujours cohérents mais bon, il avait envie de parler, donc je l'excuse d'avoir fait de longs discours moralisateurs que je n'apprécie que moyennement.
Bref, 3 concerts vraiment différents les un des autres pendant lesquels on aura appris que le dernier disque n'est plus à l'ordre du jour et qu'il recommence à prendre plaisir à nous voir. 3 jours remplis de belles rencontres et de merveilleux moments. Oui, moi j'y crois encore à la magie des rencontres.

Merci à vous. 😘


T'es cette mère qui fait croire à son gosse que le collier de pâtes qu'il lui a confectionné est un chef d'œuvre. Tu en es même fière.
@Baggio

Une mère est fière de la confection de son chérubin parce qu'il s'est appliqué et a mis tout son cœur pour lui faire don de sa création. Mais ça tu le comprendras plus tard. Décidément je préfère julchana à Baggio. 😝

On a tous le droit d'avoir des avis différents (il y en a bien qui trouvent que Miami est un chef-d'oeuvre 😜). On ne peut pas dire que ce soit mauvais ni que ce soit excellent. Par rapport à quoi? A d'autres artistes? A ses précédents albums? Ce qui m'a gêné à la première écoute c'est cette longueur, cette lourdeur, cette sensation de monotonie. Mais si on prend chaque chanson les unes indépendamment des autres, il y a des pépites. Et si on les prend dans leur ensemble il y a une réelle harmonie. Je ne peux pas mieux comparer cet album à VLP qui déclinait la rupture amoureuse en 29 chansons. Là il s'agit du manque de culture et de ses conséquences déclinées en 7 chansons. Je parierais que tout a été écrit d'un seul trait quand les émotions étaient à leur summum et où tout est brouillé dans l'esprit. L'écrire permet de se libérer et on ne retouche pas, on ne vernis pas le cri qui te sors des trippes.

Mon forum je t'écris...
Alors si j'ai attendu une semaine avant de donner mon avis, c'est parce je pense manquer d'objectivité à la première écoute d'un album. D'abord parce que c'est Saez mais aussi parce que pour la première fois j'ai ressenti une grosse déception lors de la première écoute de L'oiseau liberté (peut-être parce que pour la première fois je n'attendais pas cette sortie d'album; oui je sais ça semble bizarre venant de moi). Album très noir, musique quasi-inexistante, redondances,... malgré mes coups de cœurs immédiats pour Les enfants paradis, Mon pays je t'écris et Les enfants lune. Je ne l'ai donc écouté en entier le premier jour qu'une seule fois et ça m'a suffi. Je ne savais pas trop quoi en penser. L'album d'une traite est indigeste, un peu comme VLP (qui fait pourtant de mon top 2). Mais je me suis dis : "Doit y avoir autre chose!" J'ai donc décidé de n'écouter que 2 à 3 chansons maximum par jour pour vraiment pouvoir les apprécier. Alors oui, Les thèmes culture / liberté / terrorisme sont redondants, tout comme certaines expressions mais je vois cet album comme un journal, comme des écrits sous le coup de l'émotion, donc où il y a forcément des redites mais parce que j'ai l'impression que les textes ont tous été écrits dans le même temps (d'où l'éphémère brut / vernis). Le fait que la musique soit quasi-inexistante avec un rythme lancinant permet d'accentuer cet état d'esprit. De même que cette sobriété, cette retenue, cette pudeur qui se ressentent dans sa voix donnent ce côté hommage. Chaque chanson disséminée dans différents albums auraient certainement été mieux appréhendée par la plupart mais je pense que le but recherché ici est qu'elles fassent bloc, d'où un seul et même album. Là où cela peut également être déroutant, c'est que dans ses textes Damien ne parle pas de lui mais des autres. Il ne fonde plus ses espoirs sur lui et sa génération mais sur les générations futures. Il est moins centré sur sa personne (mise à part dans Le dernier disque) et s'adresse aux plus jeunes. L'intégralité de l'album est fondé sur (attention je fais un très très gros raccourci!!!): manque de culture > ignorance > terrorisme. Ce disque est un constat et il accuse tout ceci parce qu'en France nous restons libres de nos choix. Bref, je ne vais pas disséquer ici les textes mais au final je trouve que cet album est lié par un fil conducteur (tout comme les précédents d'ailleurs) qui le rend cohérent. L'indigestion est dû au lourd constat qu'il fait de notre société et des chemins qu'elle prend mais surtout de l'horreur qui a touché la France. Ses textes sont toujours aussi somptueux dans la majorité des cas et même s'il ne sera jamais mon album préféré il n'empêche que je l'apprécie beaucoup. A voir comment je le ferai évoluer dans le temps et comment il évoluera également en live.
Quant au Prélude... et bien on retrouve bien notre Damien. 😊 Et même si on reste dans le même thème ça passe certainement beaucoup mieux parce que beaucoup plus rhythmé.

Je ne réécoute jamais VLP ou Messina.

😱😱😱 C'est pas possible!!!

Ahah, tu demandes l'impossible: on fera un topic "spoiler". 😜

C'est clair qu'on y retrouve l'atmosphère de "a lovers prayer", mais ce n'est pas à "helicopters" qu'elle me fait penser mais à un autre titre (je ne me souviens plus lequel).

Lorsque j'ai commencé à écouter "mon pays je t'écris" je me suis dit que c'était la même chanson que "les enfants paradis" et je m'attendais plus ou moins à cette suite logique.
Quant au passage il est rechanté et légèrement plus rapide.

On m'explique pourquoi à la fin de "mon pays je t'écris" il reprend la fin de "les enfants paradis" ?

Parce que c'est la même chanson qu'il a tronquée pour ne pas qu'elle dure près d'1/4 d'heure. Comme pour Marie et Marie ou Marylin.

Oui mais au Grand Rex les fauteuils ne sont pas amovibles.

C'est écrit sur la confirmation d'achat: catégorie unique - assis.

"les chansons de l’œuvre que je travaille depuis des mois, faisant partie d’une œuvre que je travaille depuis trois ans" extrait de "quelle honte". C'est l'œuvre qu'il travaille depuis 3 ans, pas l'album!

Par contre, y'a bien eu le 2 décembre mentionné, je remets pas la main dessus.

C'est écrit dans le texte "le 2 décembre" des ruisseaux de la lutte. 😊

Cette instru c'est la version soft de "ma petite couturière". Je ne peux m'empêcher de poser les paroles dessus quand je l'écoute.

Tout ça est bien plaisant dès le matin. Par contre, à la première écoute, ça m'a un peu gêné les guitare / violon à contre-temps. Contre-temps, contre-culture, contre-courant... on est toujours dans le même sillon. 😊

"Embrasons-nous" bis. J'aime. 😊

Ouais bah je ne vous dirai pas où gwen branche son sèche-cheveux. 😱

Super vidéo mais surtout superbe travail. Merci l'artiste.

Il a la même réaction qu'à Nancy: tu ne respectes pas, il arrête tout. Même si c'est une réaction à chaud elle ne m'étonne absolument pas.

WOW.

Je comprends la colère.
Et le message ne m'étonne pas (même, je l'attendais après la publication des extraits).

Et bien on est au moins 2. 😕

J'aime pas bien le titre de la 7. Et je crois que j'vais pas bien aimer son contenu!

Merci les z'amis. Plein de bisous.