Salut à tous,

Fin des mondes,

A la fin, pour les quelques paroles en anglais, il dit:

Fu*k you Goldman Sachs, Fu*k you

Remplacer les * par des "c" car si je l'écris en entier cela ne passe pas sur le forum.
@"le


Ah merci pour Godman Sachs parce que j'ai cherché! Sinon tu es obligé de mettre des * moi aussi ça me fait pareil.

Je prends en compte toutes les remarques et je corrige au fur et à mesure (dans tous les topics).

Mon coeur transi mes mains qui tremblent
Mes yeux qui fuient va comprendre
Aux océans, le ciel en pleure

Qu'ils reviennent mouiller à ma porte
Les embrouilles dans mes brouillards
À mon whisky quand il est tard

Les lèvres saignent et moi je meurs

Le vieux port est trop vieux

Mais dis moi tu t'es regardé

Et moi et moi qui reste là (la deuxième fois)

Pis reviens voir les filles de rien

Mais le Damien lui...

De ces amours de naufragés

Et dans mes yeux que des sanglots

Moi j'étais là sur le quai
Putain moi j'étais sur le quai

Marianne elle aime bien les menottes
Marianne elle couche avec mon pote
Marianne elle est un peu sado
Marianne est folle dans les métros
Marianne sur elle est sans abris
Marianne elle a mis nos têtes à prix
Marianne elle simule tout le temps
Marianne elle a vendu ses enfants
Marianne s'est crashée en bagnole
Parait qu'elle aimait bien les vols

FANOU je ne suis pas d'accord avec toi sur le fait que le premier qui ai donné son avis négatif sur cet album soit Boudi.
J'ai donné un avis un négatif concernant l'interprétation Brélien qu'à Saez. ( bien avant Boudi)
@"aspa"


Je parle d'un véritable avis négatif, avec des explications fondées et appuyées, reposant sur une écoute approfondie et une critique justifiée comme l'a fait boudi. Pas le fait de dire qu'on n'aime pas sa voix (même moi je l'ai évoqué au tout début) ou que ça ressemble trop à untel ou untel.


Petite remarque aussi pour finir, apparemment il a réussi à tirer un trait sur ses déboires polonais.
@"sebinio"


On n'a pas du écouter le même album!



100% d'accord, même si j'ai déjà acheté l'album !
Je suis vraiment content de ce triple album même si je n'ai pas encore tout écouté...

Mais c'est quoi ce délire de chanter comme Brel !?
Je pense qu'il ferait mieux de sortir un cd style 'SAEZ chante Brel', plutôt que de 'pomper' les expressions, le ton voir les paroles...

Tout comme les thèmes: 'alcool', 'amour', 'rupture'... ça revient souvent !
Damien serait-il en manque d'inspiration !?

Qu'en pensez-vous ?
@"Tonyx"


Je comprends que la voix "imitée" puisse déplaire. Mais en ce qui concerne les thèmes, bah je ne vois pas trop de quoi il pourrait parler d'autre mis à part les problèmes de déforestation, du trou dans la couche d'ozone, du réchauffement climatique. Pas sur que ça plaise!

Sinon, sans vouloir citer quique ce soit je remarque une chose: jusqu'à l'intervention de boudi, "Messina" était encensé par tous. Il suffit qu'une personne assume son avis "négatif" sur l'album pour que les autres suivent. "L'homme ne descend pas du singe il descend plutôt du mouton." Chacun est libre de donner son avis. Avez-vous à ce point peur de vous faire taper sur les doigts?




je suis sûre que c'est déjà remonté aux oreilles du grand tout.... un jour je vais être interdite de zénith....j'ai honte ;p


@"Atala"


Quand on est citée dans Rockmag/Rocksound(?) on ne se fait pas interdire de zénith.

idem : c'est pour pas abimer les originaux que je les grave quasi-systématiquement
@"Isa"


Pareil.

idem: han la la, t'as pas honte? Enfin je dis ça mais c'est ce qui arrive aux copies (j'en suis à je ne sais combien de copies par album tellement elles sont usées et rayées de trainer n'importe où dans la voiture; j'arrive même à en casser en les coinçant en refermant la boîte à gants \o/)

Même pas, c'est du hasard (et aussi par coup de cœur).

Tu y crois toi...

date d'anniversaire : ça ne se fait point de demander son âge à une Dame, bande de malotrus !

Comment j'ai découvert Damien Saez : quand j'avais 20 ans, à la sortie de Jeune et con
@"Angie"


date de sorite 1999 + 20 ans = 33 ans
T'es grillée.

tu sais que tu es fan quand tu achètes les CD, tu les copies sur de nouveaux CD, tu les encodes en MP3 et tu remets tes CD achetés bien au chaud dans leur pochette pour par les abîmer en les écoutant.




(j'ai un côté Monk et j'assume, voilà )
@"Isa"


Ça me rassure, je ne suis pas la seule.

Tous les avis sont pourtant les bienvenus.

Tu ne retrouveras jamais le même ressenti que dans VLP. Et pour cause: VLP est son "journal intime". Il faut que l'artiste préserve l'homme et même si c'était nécessaire pour lui de publier VLP, je lui souhaite qu'il n'ait jamais besoin de réitérer l'expérience (même si elle m'a beaucoup plue). VLP te semble plus honnête et c'est normal. Mais peut-on se réjouir d'une œuvre écrite par la souffrance?

Ah bon, je ne savais pas.
C'est pour Cretch et Mug, comme ça tout est regroupé.

Légionnaire

J'parle mal au feu les manières
Moi j'ai les manières des légionnaires
De ceux à l'aube qui sont partis
Non moi je ne pleure plus pour les filles
J'aime quand la viande est crue au diner des familles
Moi j'emporte toujours mon whisky
Dans les clubs à putains pour bourgeoisie
Moi j'aime les festins au goût de toi
Et les combats de rue quand le peuple est mort
Toi t'as vu mon visage au fond des reins
Celui qui crie la rage en serrant le poing
La bouteille à la main, du whisky

Dans mes yeux les sanglots
Tu peux chercher
Des amours, leurs tombes
Tu peux creuser
Je ne suis pas de ceux qui finissent sous terre

Pour un morceau de viande au goût d'enfer
Qui mis au fond des livres (?) et rivières
Et nos bateaux dessus qui chavirent
Regarde les ils coulent ensanglantés
Dans les yeux de ceux qui ont trop aimé
Leurs bouches imbéciles
Mo je chante à la gloire des sans-paroles
Ceux qui ont des prénoms sur leurs épaules
Je suis frère de marin je suis fils de la chair
Moi j'aime quand ça crie quand ça soufre
Moi j'aime bien quand on sent dans le gouffre
Jusqu'au bout de l'enfer la violence des guerres
Oui

Dans mes yeux les sanglots
Tu peux courir
Et des amours, leurs tombes
Tu peux mourir
Je ne suis pas de ceux-là qui courent après Dieu

Allez resserre ton vin que je me crame
Le calva à mon cœur fera la flamme
De ceux qui parlent mais sans dire
Ils peuvent tous mourir ça ne me dit rien
Ils peuvent se remplir de leur mauvais vin
Les regards sont si pauvres ici
Oui

Surgissant de la plaine un bateau viendra
Et loin des amours chiennes il m'emportera
Le légionnaire à l'aube est parti
Puis avec celles qui ont trop fait la fête
Je serai disparu dans la tempête
Naufragé de mon whisky

Des sanglots dans mon verre
Coulent des amours des légionnaires
Oui
Aux quatre coins des terres
Les filles sont folles des légionnaires
Oui
Dans les bras qui se serrent
Sur que l'amour est meurtrière
Oui
Des sanglots dans mon verre
Les amours folles des légionnaires
Oui
Que je brûle en enfer
Que nos amours soient meurtrières
Allez

Allez resserre ton vin que je me crame
Le calva à mon cœur fera la flamme
Ils peuvent tous mourir ça ne me dit rien
Ils peuvent se remplir de leur mauvais vin
Surgissant de la plaine un bateau viendra
Et loin des amours chiennes il m'emportera
Le légionnaire à l'aube est parti
Le légionnaire à l'aube est parti
Et puis avec celles-là qui ont trop fait a fête
Je serai disparu dans les tempêtes
Naufragé dans mon whisky (x5)

Han la la. Sur le forum d'à côté ils emploient "l'ours" pour parler de Damien. Personne ne leur a dit qu'il y avait un copyright? Nan mais ça va pas la tête!

... avec ce frémir que je jalouse, finalement, parce que je le voudrais. Et c'est terrible de se rendre compte qu'on est fatigué de ce qu'on a tant aimé.

...c'est que c'est moi qui suis transformé. Moi qui suis modifié, et c'est très étrange de s'en rendre compte, parce que les miroirs que je dispose à chaque pas, mes reflets qui m'accompagnent jusque dans le soleil, ne m'avait pas montré cette image. Je suis devenu un adulte, et voilà que se rompt le dernier morceau d'enfance. Alors oui déçu, parce que nos foulées à Saez et moi, ne concordent plus en rien. Parce que nous avons fini de nous ressembler.

Peut être que ce qui ne m'atteint pas ici c'est son absence de mal.
@"boudi"



Je crois que tu as trouvé la réponse tout seul.

Alors on n'a pas le droit de poster des gros mots!

Fin des mondes

Des dettes pour les nations
Les sourires du pognon
Sur les quais 
Des villes épuisées
Toi tu cherches du blé
Pour te payer 
Une vie à crédit
T'as le coeur dans la suie
Morne plaine
Non c'est pas Waterloo
C'est les quais des métros
Ouais c'est la chaîne
Des abonnements aux choses
T'as vu qu'est c'que ça cause
Aux gens la merde
Pour des printemps sans roses
Ils peuvent vendre mes proses
Je les emmerde

Quelques maîtres banquiers
Pour des millions de noyés
Dans les métros
Tous ces gens qui ont des rêves
Ces gens qui ne soulèvent 
Que la croix sur leur dos

Pour vivre faut payer
Pour s'aimer faut payer
Pour mourir faut payer
Puis faut des assurances
Pour bien nourrir la panse
Du souffre spéculé
Et bien qu'ils crèvent tous
Puisqu'ils en veulent encore du courbe-échine
Ici même l'espoir 
A le goût il faut croire
Du règne des machines

Si c'est la fin des mondes
Si c'est l'enfer
Si t'as le cœur qui tombe
Plus bas que terre
Si c'est la mort des rêves
Si tout n'est que poussière
Tu le sais quand on crève
Qu'il nous attend, les vers
Dis t'es pas révolté
De voir nos terres
Toujours en champs de blé
La culture des misères

Quai des métros
J'vois des bateaux
Dis comment sècher nos sanglots
S'évader au lever du jour
Pour nos amours le long des flots
Des navires sur des champs de blé
J'entends crier l'humanité
Allez viens on va s'faire une bière
Pour exploser nos découverts
Doigt levé à leur CAC 40
Ces univers au fond des fentes
J'emmerde Wall Street et les autres
Dits Dieu, pognon, tous les apôtres
On vend nos bonheurs à crédit
Des financiers aux boîtes de nuits
Puisque nos chairs sont aux enchères
Qu'on a baisé la Terre

C'est la guerre mon amour(x3) / Wall Street(?)

Aux vagues emportant des pluies
Aux grands patrons du tout pourri
A mon amour dans son caddie
Aux licenciés dans l'incendie
Aux viols collectifs des cultures
Au nucléaire dans la nature
Aux fils des ciments des campagnes
A nos enfants à nos compagnes
Aux laissés sur le bas-côté
Aux blessés des cours des marchés
Au gré des chômeurs des enclaves
A nos amours au fond des caves
Aux dictatures de nos réseaux
Ta vie de merde sur des poteaux
Aux politiques, doigt dans leur cul
Travailler plus, travailler plus
Au peuple dansant pauvre con
Tous à bander pour du pognon
Pour des p'tits rois de la finance
Pour des guignols menant la danse
Des collabos aux communicants
Des transactions aux connaissants
Il faudra leur couper les couilles
Et puis tant pis s'ils sont [...]
Ils sauront faire pousser les fleurs
Qui sait demain pour un meilleur
Tant pis s'il faut tout détruire
Sénateurs il faut reconstruire
Camarade banquier tu peux mourir
Moi je pisserai sur ta tombe
Puis j'lui ferai l'amour à ma blonde

Fu*k you Goldman Sachs fu*k you / Wall Street

C'est la guerre mon amour


Merci Sindy!

NB: Je sais qu'il manque un "c" à "fuk" mais si je le mets, ça me m'écrit ....Merci aux modos de faire quelque chose.

Messine

J’aurais aimé t’aimer
T’emmener à Messine
Te suivre à La Rochelle
Te faire voir mon Roubaix
Oui mais je n’ai pas su
Attraper le bateau
Un instant j’avais cru moi
Voir la mer à Roubaix
Alors tant pis Messine
En tous cas avec toi
Alors tant pis Venise
Alors tant pis pour toi
Dans les doigts qui a filé
Moi je suis sans regret
Les pavés de Roubaix
Toi t’aurais pas aimé
J’aurais aimé te prendre
Comme on prendrait la mer
Comme on ferait la route
Juste pour le plaisir de s’la faire
Connaître l’inconnu
Se dire que c’est possible
Qu’à chaque coin de rue
On peut toucher la cible
Qu’on peut se faire la belle
Oui jusqu’au bout du monde
Et qu’à chaque seconde
On peut trouver l’amour
Qu’avec lui rien n’est impossible
Qu’avec lui on peut tout faire
Des sourires à nos sanglots
Et à Roubaix la mer
Viens on va s’faire Venise
Ouais chez toi ou chez moi
Viens on va s’faire Venise
Moi je s’rais italien et toi tu seras toi
On a pas besoin d’Paris
De Messine ou d’ailleurs
Les pavés de Roubaix tu sais
C’est assez pour s’aimer
Car Venise ouais c’est toi
Et Roubaix ouais c’est moi
C’est la belle et la bête
Comme il dit c’est le rouge
Et le noir pour qu’un ciel flamboie
Amour prends mon amour
Et laissons aux touristes
Oui la mort des musées
Car mieux que Michel-Ange
Et ben oui y a tes fesses
Dans lesquelles je me confesse
Parce que c’est toi Venise
Parce que c’est toi mon église
Parce que c’est toi mon Louvre
J’aurais aimé te prendre
Comme on prendrait la mer
Comme on ferait la route
Juste pour le plaisir de s’la faire
Connaître l’inconnu
Se dire que c’est possible
Qu’à chaque coin de rue
On peut toucher la cible
Qu’on peut se faire la belle
Oui jusqu’au bout du monde
Et qu’à chaque seconde
On peut trouver l’amour
Qu’avec lui rien n’est impossible
Qu’avec lui on peut tout faire
Des sourires à tes sanglots
Et à Roubaix la mer

Aux encres de nos amours/ Thème : La fin me transporte dans un tango meurtrier, un Boléro, une Carmen.
@"Angie"


Personne ne l'a évoqué jusqu'a présent mais je ressens exactement la même chose: la fin me fait à la fois penser au "Tango" de Saez (même Gotan Project), au Boléro de Ravel et à Carmen de Bizet par sa montée en puissance.

De rien.
N'hésitez pas à me corriger!

Je cherche encore
À l'Alhambra
S'en aller

Bouteille à la mer

Sur toi mes yeux ont jeté l'ancre
Et les flots bleus dans mes yeux rentrent
Sur des feuilles blanches mon cœur qui saigne
Nos deux prénoms sur les rochers
La bouteille à la mer
Pour te dire que je t'aime
Et que toujours je t'aimerai

Au vent des lignes je pense à toi
A ces plaisirs au fond de moi
A ces dieux qui ne comprennent rien
Car mon cœur était fait pour tes mains
Aux portes de mes enfers
Le long des cimetières marins
Je resterai au port

Je prendrai plus jamais le large
Je resterai toujours à quai
Et pour toujours je t'attendrai
Guettant chaque jour qui se lève
Pour voir un jour à l'aube
Pointer sur le rivage
Tes yeux qui reviendraient vers moi

J'ai le couteau au bord des veines
Comme pour te dire que je t'aime
Sur des feuilles blanches mon cœur qui saigne
Des perles d'amour tombées du ciel
La bouteille à la mer
Pour te dire que je t'aime
Et que toujours je t'aimerai

Tu crois qu'il neige sur l'océan
De nos amours perdues
Les cotons volent au grès des vents
C'est vrai qu'on s'est perdus
C'est beau un océan qui pleure
Les corps, mon cœur des disparus
Perdus dans les marées du temps
Perdus

Sur toi mes yeux ont jetés l'ancre
Emmène moi sur des flots bleus
Et que jamais ne rentre au port
Le doux navire de nos amours
Le doux navire de nos amours perdues

Le bal des lycées

Il paraît qu'on a la vie devant nous
Que la jeunesse c'est la vertu
Et l'amour à s'en rendre fou
On n'en a qu'un et je l'ai perdu
Au fond du sablier du temps
T'es pas venue ou j'ai trop bu
Oui mon cœur s'est trop battu
Ramène moi
Qu'il est loin le temps des amours
Le temps des cœurs qui se serrent
Ouais des filles que l'on serre
Fort contre soi
Au croissant au lever du jour
Quand on s'aimait à la marelle
Les camarades pour toujours
Quand et quand tu reviendras

On se quittera tous un beau jour
On reviendra sur nos discours
On croira qu'on a tout compris
On aura rien compris du tout
On sera riches rois de province
On sera pauvres et sans le sou
Puisqu'avec les copains d'avant
On serra tous morts ou beaux
On se dira jamais vieillir
Puis on finira tous vieux cons
A regretter c'qu'on a perdu
Celle qu'on aimait qui est pas venue
Quand on avait les dieux au corps
Quand on savait tromper la mort
Quand on lui mettait le doigt bien haut
Bien profond

Au temps des bals des lycées
Au temps des rêves, des amitiés
Au temps où on s'aimait qu'importe
Au temps des lettres sous la porte
Au temps des filles dans les bagnoles
Au temps des murs et des alcools
Au temps des rasoirs aux poignets
Au temps des jeux de nos amours
Au temps où c'est beau et c'est tout
Au temps du feu brûlant toujours
Au temps où chaque fille est un port
Au temps des dieux, des diables au corps
Au temps où l'on a peur de rien
Au temps où rien n'est impossible
Au temps où l'on aime ses copains
A coup de lance-pierres sur les chemins

Les avions qui passent au dessus de nous
Les visages qu'on a croisés qu'on a perdus
Les gens qu'on a aimés puis qu'on n'aime plus
Les yeux qui sèchent au temps qui passe
Les amis qu'on a laissés derrière
La vie qui perd de ses mystères
Les évidences qui vous lacèrent et puis qui tuent
Et la beauté des filles quand elles sont nues
Les liens du sang qui nous tiennent le cœur
Les croix qu'on porte et la chaleur
De vous mes frères tenant l'espoir
A bout de bras mes jours de gloire
Les parfums qu'on reconnaît plus
Les filles qu'on n'a jamais revues
Les jours de fêtes et les bals des lycées
Celles à qui on n'a jamais parlé
Ouais tout ce que la vie a emporté
Le muscle qui arrête pas de saigner
Les choses qu'on ne peut pas refaire
Tout ce qu'on aura laissé derrière
Les poussières et puis les rubis
Et les amis au fond des nuits
Dans les gorges des filles oui tout s'oublie
L'hémorragie de nos mélancolies
Un jour bientôt face à la mort
Me reviendront à la mémoire
Toutes ces choses que j'ai oubliées
Ouais puis toi que j'ai aimé
Tu sais toujours face à la mort
Nous reviennent à la mémoire
Celles avec qui on a dansé
Les jours de fêtes et des bals des lycées
Celles avec qui on a dansé
Les jours de fête
Les jours de fête
Les jours de fête

Fais attention sinon sans même que tu t'en aperçoives tu va te mettre à porter des chemises à carreaux.

je viens de me rendre compte d'un truc très con :
l'intro de "Marianne" me fait penser à "Ker Chansonec" d'Oldelaf et Monsieur D

(vous avez le droit de me jeter des cailloux, mais pas trop fort)
@"Isa"


C'est vrai, on a le droit de te jeter des Kaio...euh des cailloux? Ok je sors!