Je suis pas très fan du style phrases courtes aussi en général. Là, c'était vraiment un exercice de style, pour coller au rythme d'une pensée. Donc je comprend parfaitement que tu n'accroches pas !

Merci beaucoup !

Pour le Saez, je plaide entièrement coupable. Effectivement, un style personnel, ça vient avec le temps. Surtout quand on a que 21 piges et qu'on écoute l'Ours depuis tout petit !
Mais vos retours me font plaisir, ça me donne envie de continuer à expérimenter de ce côté là !

J'ai terminé la nouvelle ! Je n'ai aucune idée de ce qu'elle vaut, très sincèrement. Au total ça fait 4 pages, mais j'ai tout rassemblé dans le premier poste du sujet.

N'hésitez pas à me donner votre avis ! (Même si c'est hyper négatif, c'est pas grave, c'est toujours intéressant ! )

Ahah, c'est avec plaisir !

( Pour ceux que ça intéresse, je vais essayer de publier la suite/fin du texte dans la nuit )

Je vais regarder de ce pas ! Merci beaucoup !

Il me reste plus qu' à le porter partout en France pour le faire gaaaaaaaaaagner (J'ai le même problème ! )

j'aime surtout la deuxième partie celle du métro, dépersonnalisation avec la répétition du ça, et puis la tentative de décrire les parcelles d'humains qui constitue ce "ça", pour finalement se poser la question de ta contribution au vivant. C'est aussi comme dit Ewi très cinématographique et on se passe le film en tête.

merci du partage;


Merci à toi pour ce retour ! C'est très gentil !


Je vais trancher un peu avec les avis du dessus mais autant j'trouve que pour une première ton style est limpide et sans fioritures, ce qui est déjà pas mal, autant ton texte est plein de lieux communs, dans les images et dans la réflexion métro-dodo-boulot-je-remets-ma-vie-en-question. Le dernier paragraphe par exemple, on dirait un peu le skyblog d'une fille en détresse... Du coup ça me bloque un peu, mais ça s'lit bien en tout cas, d'où je pense ces nombreux retours bonne continuation !
@Spleen


C'est bien de trancher ! Je suis d'accord pour les lieux communs, c'est assumé et volontaire. En fait, mon idée est d'ancrer le plus possible dans le "réel" ce texte pour sa première partie pour mieux amorcer la seconde qui est plus fantastique/"poétique" (j'ai du mal avec le mot, il est trop grand pour définir ce que je fais). Globalement, j'ai envie d'écrire 4/5 nouvelles qui partagent un concept : ré-enchanter le quotidien. On a plus la magie des lieux inconnus, les mystères du quotidien, ce genre de chose. Du coup, ces textes ont pour vocation de parvenir à faire rêver en introduisant du magique dans le quotidien.

Bon, alors là, je dis le mot "magique" mais faut pas s'attendre à du Disney ou autre, hein. Techniquement, c'est plus de la poésie fantastique, mais j'ai du mal avec ce terme comme j'ai déjà dit.

Bref, tout ça pour dire, c'est pas plus mal au final si ça sonne simple comme un skyblog, ça permet au texte d'être accessible, d'être plus réel aussi. Enfin je trouve. (J'en profite aussi pour préciser que c'est de la fiction, je n'ai pas grandi à Paris, par exemple).

Mais ! Je suis d'accord aussi pour dire qu'il faut que la suite du texte s'émancipe un peu de tout ça

Salut !

Alors, non, je n'ai pas lu, mais je n'hésiterais pas à le faire si l'occasion s'en présente du coup, ça m'intéresse !

Pour le court-métrage, c'est rigolo que tu parles de ça parce que j'ai à la base une formation dans le cinema (licence de cinéma, réalisation de web-série, scénariste..). Alors, je sais pas si c'est de là que ça vient mais c'est amusant !

Pour être honnête, j'ai comme "ambition" d'écrire plusieurs nouvelles (combien, je ne sais pas vraiment) et de les accompagner justement d'autres supports (comme le film). J'trouve que c'est un bon moyen d'amener les gens vers des terrains qu'ils ne fréquentent pas forcément (du cinéma vers la littérature, par exemple). Je ne sais pas si je le ferais mais voilà du coup, c'est amusant que tu en ai parlais !

Si carrément, merci !

Très beau ! J'aime beaucoup !

Merci beaucoup pour vos retours ! Ça me touche beaucoup et ça me motive d'autant plus à continuer ! Vraiment !

Et merci pour avoir repéré la faute, je corrige de suite

Salut à tous !

Aujourd'hui, je vous présente le début d'une nouvelle que j'écris. L'idée, c'est d'avoir vos avis, vos ressentis, vos conseils.. Un peu tout en fait !

L'écriture, c'est pas mon truc à la base et je ne sais pas du tout ce que vaut ce texte donc.. voilà !

J'espère que ça vous plaira ! C'est un début, si ça plait, je publierais la suite




La sonnerie résonne. Les portes se ferment. Le moteur redémarre et le métro quitte la station. Le son, les portes, le moteur et le départ. C’est toujours la même chose. De station en station, de ligne en ligne, de printemps en hiver. La même formule.

*

Petit, je me souviens, je le prenais pour aller à la piscine avec le centre. Tous les mercredis après-midi. Je pigeais pas tout à l’époque, je dois bien le reconnaître. Les tickets, les horaires, les changements… C’était pas mon problème. Et puis, mes parents, leur truc, c’était plus la bagnole. L’espace privé, la tranquillité, ce genre de connerie. Alors, moi, le métro, ben j’y allais pas. À part pour la piscine. Là, je descendais sous terre. De porte de Pantin à … Quelque part. Je ne me rappelle plus du nom de la piscine. Je ne l’ai peut être même jamais su. Tout ce dont je me souviens, c’était le mur de brique rouge en face de la sortie. Il m’a marqué celui là parce qu’on se collait toujours dessus pendant que les moniteurs faisaient l’appel. Agatha, Thomas, Quentin, Yann.. Ça prenait des plombes. Je crois qu’ils avaient peur d’en oublier derrière. De faire la boulette de trop, celle qui leur vaudrait plus qu’un avertissement. Et nous, on était là, on cuisait sous le soleil. On attendait.

Et puis, à un moment, on repartait. On allait à la piscine. On s’amusait. Ouais, on passait de bons moments… Tellement bon que j’en ai plus aucun souvenir d’ailleurs. Mais je pense que c’est normal. Je pense que notre mémoire, elle s’efface au fur et à mesure. Quoi qu’on fasse. Et nous, on est là, comme des cons, à essayer de se rappeler, à rejouer le vieux film en boucle pour mieux en voir les détails. Mais la pellicule, elle est déjà en feu. Et toi, tu le vois pas, tellement pré-occupé par l’histoire. Tu te rends pas compte que des personnages ont disparu, que les décors ont changé… Mais à la fin, le résultat est toujours pareil, il ne reste qu’un mur de briques rouges.

Au début, ça me rendait un peu triste tout ça. J’avais la sensation de perdre quelque chose, de ne plus être « entier » ou je ne sais pas quoi.

Maintenant, ça va mieux. Oui, maintenant…

*
La sonnerie résonne. Les portes se ferment. Le moteur redémarre et le métro quitte la station. Trois personnes descendent, cinq montent.

*

Le plus fatiguant dans le métro, c’est de suivre ses pensées. Ça sonne ridicule, je sais, presque comique même. Mais ça l’est pas. Tu peux me croire…

D’ailleurs, tu penses que c’est quoi toi ? Qu’est-ce qui fatigue le plus dans le métro ? Moi, au début, quand j’ai commencé à le prendre tout seul pour aller au lycée, j’pensais que c’était le bruit. Pas seulement la sonnerie, hein, l’ensemble. Les gens qui discutent, le moteur qui grondent, cette putain de sonnerie qui résonnent à chaque station… Elle, c’est la pire. Je l’ai trop entendu. Hier, comme aujourd’hui. D’hiver en printemps, elle est toujours là. Au début, elle résonnait dans la station, maintenant elle résonne dans mon crâne. Huit fois le matin, huit fois l’après midi. Cinq jours sur sept. Quatre-vingt fois par semaine. Trois cent vingt fois par mois. Cette même putain de sonnerie.
Mais c’est pas ça le pire. Non, c’est pas ça. Le pire, c’est les arrêts. Toutes les minutes. Ça monte, ça descend, ça sonne, ça gronde, ça crie, ça râle, ça rie, ça pleure, ça mange, ça pisse, ça vie et ça grouille. Et moi, j’suis là comme un con. Déconnecté. Dans ma bulle. En train de penser ou de lire. À côté de la plaque. Et je m’arrête. Toutes les minutes. Je m’arrête et je regarde. Les jeunes et les vieux, les hommes et les femmes. Et alors je vois.
Je vois le SDF qui essaye de gagner de quoi manger avec sa guitare usée et ses ongles cassés. Je vois cette mère qui pour calmer les pleurs de son môme lui donne sans un regard un paquet de chips dégoulinant de graisse. Je vois cet ado, les yeux à moitié fermés, collé à la vitre, qui écoute sa musique à fond et qui essaye d’oublier. Je vois ces copines, scotché à leurs téléphones, qui ne se parlent pas, parce qu’elles ont déjà tout dit, parce qu’il y a plus rien à dire, parce qu’elles n’ont jamais su quoi dire. Je vois cette travailleuse, épuisée, qui lutte pour ne pas s’endormir mais qui s’enfonce à chaque station un peu plus dans son siège. Je les vois tous. Des fantômes encore en vie, des morts presque vivants.

C’est ça le plus fatiguant dans le métro. Suivre ses pensées. Et lutter. Pour pas finir comme eux, pour ne pas échouer, pour ne pas s’échouer. Lutter. Contre les fantômes. Contre ses fantômes.

Est-ce que je suis encore vivant ?

*

La sonnerie résonne. Les portes se ferment. Le moteur redémarre et le métro quitte la station. Personne ne descend. Un homme monte. Cheveux poivre et sel. Bleu de travail. De la poussière sur les jambes, des cernes sous les yeux. Un de plus.

*
C’est toujours comme ça. Je pars d’une idée simple. Un truc basique. Puis je dérive. Je sais pas d’où ça vient.. C’est peut être un effet secondaire du métro. Tu sais, en plus de la puanteur, des gens et du bruit. La dérive. L’impossibilité de se concentrer sur un truc. Le tourbillon d’idées. Ils devraient le mettre sur les tickets, tiens, en avertissement. « Attention, l’abus de métro provoque des risques de fatigue mentale ». Ça serait marrant. Con mais marrant.

*

La sonnerie résonne. Les portes se ferment. Le moteur redémarre et le métro quitte la station. Mouvement de foule.

*

Nouvelle partie. On redistribue les cartes. Tout le monde descend, tout le monde monte. Après le tourbillon d’idée, le tourbillon humain. Encore plus étourdissant celui-là. De nouveaux visages, de nouveaux compagnons de route. Des gens que j’ai jamais vus et que je reverrais sans doute jamais. La routine parisienne, quoi.
Et puis, y a cette fille, au fond du wagon. Cette inconnue qui m’en rappelle une autre. Une de mon passé, une que j’avais aimée, une qui m’a depuis oublié. Alors, j’me fais des films. Je me dis que je pourrais aller la voir, que je pourrais lui parler. Et qui sait, peut être qu’il se passerait un truc ? Conneries, oui. Ça c’est pour la télé. Arrête de rêver et reviens dans la réalité.
Personne ne se parle jamais dans le métro. Enfin, j’veux dire, personne ne parle jamais avec des inconnus dans le métro. Jamais. Ça fait partie des règles. Tu sais, ces règles qu’on respecte tous, sans trop savoir d’où elles viennent ou même pourquoi elles sont là. Je suis sûr que tu fais pareil. Dis moi, c’était quand la dernière fois que tu as parlé à quelqu’un dans le métro ? Pas ton pote ou tes parents, hein. Un inconnu. Quelqu’un qui avait l’air paumé, en train de regarder sur une carte plus grande que lui le trajet pour se rendre dans son hôtel ou en train de pleurer, seul, au bout du quai, après une rupture ou un décès. Tu leur as déjà causé ?
Tu m’diras, j’te jette la pierre mais je suis pas mieux. Je fais comme tout le monde dans ces cas là. Je trace tout droit, j’ignore les obstacles. Je continue ma putain de course. Faudrait pas que je sois en retard.

Je me souviens pas de la dernière fois que j’ai parlé à quelqu’un dans le métro… Le film, il a déjà brûlé.

*

Sonnerie. Portes. Moteur. Station.

*
Si, y en a une dont je me souviens. C’était il y a trois ans, peut être même quatre. Une rencontre. C’était au bord d’un quai. Ligne 4 ou ligne 7. J’en sais rien. Qu’est-ce que ça change ? C’est la même chose de toute façon. Et puis c’est pas ça l’important. Non, ce qui compte, c’est l’humain. Y a que ça d’important au final. Putain, je recommence à m’embrouiller. Tourbillon de merde. Concentre toi. Y a quatre ans.

C’était un SDF. Oui, SDF. J’aime pas dire clochard. C’est péjoratif. Et je pense qu’ils ont déjà assez de tristesse dans leurs vies comme ça. Pas besoin d’en rajouter en les rabaissant encore plus. Bref. Un SDF. Il était là, au bout du quai. De longs cheveux gris. Et puis un visage maigre, presque tiré. Tu sais, un peu comme le visage de ces gens qui sont capables de bouffer deux rôtis entiers par repas sans prendre un gramme à la fin de la journée. Sauf que lui, des rôtis, ça devait faire un bail qu’il en avait pas vu un. Et il était là, assis par terre, entouré de cartons et de morceaux de bois. Le regard vide, perdu, lointain.

Je me souviens plus trop comment ça a commencé. Je sais même plus s’il m’a demandé de l’argent. Mais je crois pas. Non, en y réfléchissant, je pense pas. Il était trop perdu pour ça.

« - Tu sais pourquoi on appelle ça un quai ? »

Ça je m’en souviens très clairement. Son regard fixé dans mes yeux. Il m’avait posé cette question. Tu sais pourquoi on appelle ça un quai ? Moi, c’est le décalage qui m’a surpris le plus. Avec le temps, c’est horrible, mais on s’habitue à la pauvreté. On y fait plus attention. Mais là, c’était différent. Il ne me demandait pas de l’argent. C’est ça qui m’a marqué.

« - Alors, tu sais pourquoi on appelle ça un quai ? »

Ma réponse, par contre, pas moyen de la retenir. Surement une connerie. Une excuse à la con pour couper court à la discussion. Un non-merci-je-m’en-fout poli, comme on en fait tant par jour. Tu sais très bien de quoi je parle. Mais ça l’a pas arrêté pour autant.

«  - Parce que c’est un port. Les quais de métro, c’est des ports. Et ça, c’est mon bateau. »

Voilà ce qu’il m’a répondu, en regardant les bouts de bois posés autour de lui. Ça, c’est mon bateau. Et il souriait en le disant. Pas le genre de sourire que tu fais toi, en allant au boulot ou en saluant ton connard de patron, non, le genre de sourire que tu fais gamin. Un vrai sourire. Pur.

«  - Bientôt, je pourrais partir. Il me reste plus qu’à l’assembler et je pourrais partir. Quitter le quai, sans prendre de métro. Pas besoin de métro quand on a son propre bateau. Tu vois ce que je veux dire ? Je serais enfin libre. C’est pour ça qu’on les appelle des quais. Parce qu’on est dans un port. On peut aller où on veut. Et moi, j’ai mon bateau. Je vais enfin être libre. Enfin… »

Il me parlait comme ça, en souriant. Heureux. Il me parlait de son bateau, de partir, de commencer une nouvelle vie, loin du gris et de Paris.

Et puis, il a sauté.

*

La sonnerie résonne. Les portes se ferment. Le moteur redémarre et le métro quitte la station. Sans moi cette fois.

*
Il n’est pas mort devant mes yeux. Le métro a eu le temps de freiner et on a pu le remonter sur la bordure du quai. Mais je pense quand même souvent à lui. Encore aujourd’hui.

Il était fou, tu sais. Qu’est-ce que je dis.. Bien sur que tu le sais, ça crève les yeux. Il était fou. Mais je sais pas, y a quelque chose dans ce qu’il a dit, quelque chose qui m’a touché. C’est marrant parce que j’y pense de plus en plus souvent en ce moment. À ce SDF, à son histoire. Elle était jolie son histoire…

Mais t’inquiète pas, copain, je suis pas dépressif. Je vais pas me jeter sous un métro. Pas maintenant, ça serait trop con. Mais je pense quand même à lui. Le film est encore à l’affiche, comme on pourrait dire. Et, je sais pas pourquoi, mais la pellicule a pas l’air de cramer cette fois. Pas foutu de me souvenir de mon enfance mais marqué à vie par un fou. Ça en serait presque marrant si c’était pas aussi déprimant.

Mais en fait, je crois que c’est son histoire de bateau. Je la trouve belle, moi, son idée. Et ça aide dans le quotidien. Ça aide de se souvenir qu’il existe d’autres rivages. D’autres ports. Il avait peut être raison, au fond. Alors, je sais pas, c’est peut être pas si déprimant que ça au final… C’est peut être même bien. Ça ouvre quelque chose. Ça donne un espoir. Alors, bien sur, c’est pas aussi simple que ça de partir. De fabriquer son bateau. Il me faudra plus que des morceaux de bois et de l’espoir .Mais c’est bien de se souvenir que c’est possible. Qu’il n’existe pas que les métros. Qu’on peut se construire son propre radeau.

Qu’on est pas destiné à crever sur les quais des métros.

Réactions mitigées sur cette chanson donc.

Moi je la trouve jolie. Pas renversante, juste belle. Un truc qui fait du bien en ce moment quoi.

Les retours de l'avant première sont visiblement très très bons !

Beaucoup de jolie noms ici.

J'apporte ma pierre à l'édifice, avec un autre type de littérature mais qui, je crois, est tout aussi importante.

L'ombre du vent - Carlos Ruiz Zafon
Cent ans de solitude - Grabriel García Márquez
Spin - Robert Charles Wilson

On le sait tous, Saez est littéraire.

Et s'il y a de nombreuses questions que j'aimerais lui poser, l'une de celle qui me tiens le plus à coeur serait de lui demander quels livres il conseillerait aux autres et pourquoi. Après tout, la littérature, c'est aussi ce qui nous défini et puis, "on ne combat jamais mieux qu'en ouvrant des livres".

Pas de bol, je ne connais pas l'Ours. Alors, la question, je vous la pose à vous. Mais en deux temps.

Quels sont les livres que vous conseillez à tous ? Et surtout pourquoi ?

Et, selon vous, quels livres l'Ours serait capable de nous conseiller ?

( Je précise que tous les films sont en vo sous-titré en anglais )

Et comme promis, voici un petit bout du japon, avec 67 films d'animations japonais !


https://cultureresistante.wordpress.com/2017/04/26/67-films-danimation-japonais/

Bon, 2 contre 1, je m'avoue vaincu !

Petite préférence pour Fort Vimieux de mon côté mais indubitablement un des meilleurs !

Aller, pour oublier ces mornes résultats, demain on parlera cinéma sur Culture Résistante ! Et en attendant, je vous invite à jeter un oeil aux tableaux de Turner. Un petit bout d'évasion :

https://cultureresistante.wordpress.com/2017/04/23/joseph-mallord-william-turner/

Triste pays. Tu me donnes envie de gerber ce soir, ma France.
L'argent et la haine. Le vide et le racisme.
J'espère que tu es content de toi, ma grande. Moi, tu me dégoûtes.
Si c'est ça être fils de france, alors je crois ma vieille que je préfère être orphelin.

En ce jour d'élection, pour patienter avant les résultats, et si nous parlions un peu de beauté et de peinture ?

https://cultureresistante.wordpress.com/2017/04/23/joseph-mallord-william-turner/

Malheureusement oui. Après, à nous de faire en sorte qu'il ne se restreigne pas encore plus dans le futur !

Paris…

Paris, c’est la Tour Eiffel. Les Champs-Elysées. Montmartre… Bon, ouais, okay, ça c’est surtout les cartes postales.

En réalité, Paris, c’est une ville. Une vraie. Avec des gens dedans. Qui y vivent, qui y rêvent, qui y crèvent. Et comme toute les villes, elle a son passé.

Mais le passé de Paris, il n’est pas toujours très visible. Parfois, il faut le chercher. Parfois, il est caché.

Viens, aujourd'hui, on le découvre : https://cultureresistante.wordpress.com/2017/04/19/les-catacombes-de-paris-temps-suspendu-2/

Je ne les ai jamais encore vu sur scène mais j'ai hâte de voir ce qu'ils vont donné dans le futur ! C'est un début intéressant pour un groupe en tout cas !

Il ne reste plus qu'à voter, espérer et ne pas faire le mauvais choix