++ je commence mon nouveau job demain !

Ah autant pour moi ... j'étais trop focalisée sur le fait que plusieurs fois ils aient dit "chanson contestataire"

Haha voilà mystère résolu !

Obispo suit aussi le compte twitter de Saez. Un vrai fan ?!

Pas rebelle, contestataire ! Fais un effort quand même !

Au pays de TF1, jeune et con "c'était osé" quand même !


https://twitter.com/TheVoice_TF1/status/980192788007571456

Tellement drôle ils arrêtent pas avec le "chanson contestataire".

Si le bassiste est de nouveau au studio belge, est ce que cela veut dire que l'album est toujours en cours de prod ?
Sauf s'il est là bas pour autre chose le monsieur !


https://www.instagram.com/p/Bg_OaqmFtAX/

*tu dois jeter les pierres de ces mots* <3
j'aime cet esprit


J'ai tilté sur la même phrase
@Churinga


C'est parce que tu te vois dedans toi ? 😂

Ça me fait penser à cette pub ... "tout l'art du maître est là !".

*tu dois jeter les pierres de ces mots* <3
j'aime cet esprit


Merci ! Et bien tu sais quoi ? Cette phrase aussi m'a marqué ... et est, certainement celle qui contient tout le sens de l'histoire (dans ma tête ) alors merci de l'avoir capté !

MAIS VOUS ALLEZ ARRETER DE ME NARGUER AVEC VOS GUINNESS ALORS QUE JE PEUX RIEN BOIRE DE PLUS FORT QU’UN EARL GREY !!!




Sinon, je suis aussi d’accord avec Eléa, y a pas si souvent l’occasion de voir des actes de bravoure comme ça. Et on a beau se persuader que c’est normal, que beaucoup seraient capables du même sacrifice, ce mec c’est carrément un héros, peut-être pas qui redonne mais en tout cas qui rappelle qu’on peut encore avoir foi en l’être humain, c’est autre chose que tous les p’tis bourges qui imaginent que boire un café en terrasse c’est ça être un résistant. Parce que, même si on aimerait du plus profond de nous-même et que c’est plus rassurant, et gratifiant pour l’ego, de s’imaginer ce courage, il n’en reste pas moins que si ce soir on devait tous se retrouver dans la même situation, y aurait même pas besoin de tous les doigts d’une main pour compter ceux qui donneraient leur vie en toute connaissance de cause, y compris si la personne à sauver était un fils, une épouse ou un père.
Alors, oui, ça fait du bien de voir qu’il y encore des personnes comme Eléa capables de voir la beauté dans ce monde et s’en réjouir.
@X


Merci ça fait du bien de lire ça ... Chacun voit les choses comme il le ressent.

Mons.

J'aimais bien la Belgique, mais j'ai découvert Bruxelles par la tension, le suspense puis une forme de tristesse. Sans faire mentir le présage, il pleuvait lorsque l'oiseau de fer a posé ses roues sur le bitume humide. Il y avait déjà un train à prendre quelques part dans le ventre de la ville, mais derrière la vitre de ce bus vers le centre les rues appelaient parfois Paris ou Londres mais avec son propre charme. Est ce que tu serais là ? Est ce que c'était une folie ? Je crois que oui, je crois que je le savais déjà lors du voyage ... je le savais même depuis la première seconde où l'idée est venue. Je le savais aussi à la réservation du billet d'avion. Je savais mais j'ai foncé quand même. Et en février 2016 je suis là dans ce bus belge, accrochée à une idée folle et peut être désespérée. Le train sur les rails, le décor est parfois sombrement la mort d'une industrie, les friches et ruines sont comme des signes d'une déception visible et prévisible. Le train fonce. Mons arrive. Je découvre ce paysage urbain imaginé mille fois. La gare, le parc de tes heures d'été, les ruelles ... et la grand'place centre vibrant. A cette heure ci du matin, des scouts animent les pavés, un peu plus loin un rassemblement de chiens ... malgré cette langue française, on aurait dit qu'il s'agissait vraiment d'une autre planète ... et au-dessus un ciel grisâtre peu réjouissant. Le premier sms était parti, le destin venait de se mettre en marche et l'attente commençait alors. Seras-tu là ? Les mots comme une chanson française, prennent là tout leur sens ! Plantée comme un poteau sur ce désert de pavés, une femme qui me prend pour une fille du décor, me demande où est la banque ! Je crois le savoir, lui indique. Je repasse à autre chose ... Mon attente. Une voix criée me lance "Hé madame ! Elle est là la banque !". Je crois que c'était un merci. Le second sms part cette fois je crois.  Je ne sais plus la chronologie ... et puis il faut repartir finalement, retourner sur ses pas, revoir les ruelles, le parc et la gare. J'ai failli louper le train, quelle ironie de se retrouver coincer dans un décor qui ne nous a pas parlé. Je prends une photographie pour les archives "gare de Mons" mais elle se perdra comme beaucoup d'autres particules de cette histoire. Sur le retour, une femme tendre assise en face de moi me propose un gâteau, me parle de son chien et me demande de garder un oeil sur lui pendant qu'elle va aux toilettes. Le même décor à contre courant repasse, friches et ruines d'une ère bien révolue. Est ce que j'y ai cru ? Je ne sais pas. Il semblerait que oui puisque j'étais là, puisque j'ai pris le voyage comme ultime preuve d'un je ne sais quoi abstrait, flou, sans contour et disparatre. Les voies multiples de la capitale réapparaissant et je crois que j'ai vu passé une désillusion ... je n'ai même pas eu le temps de manger ! Qu'est ce que c'est bête de faire des tours et détours, basculer la journée dans un mini chaos pour perdre du temps ! Bruxelles revient alors, du tourisme au fil des rues ... je regarde avancer mes deux camarades de fortune, en retrait il semblerait que le vide soit avec moi ... et puis la vie revient. La vie reprend son souffle quand d'un pas presque d'enfant, je découvre sans détour et émerveillée la Grand'place. Il y aura les parcs, les statues, les Atonium et les alcools de célébration. Elle est belle Bruxelles, belle de nuit et de jour, belle à consoler un pincement au coeur, belle d'être belle de son histoire et ses pierres et de ses étincelles. Et toi. Toi quelques part tu n'étais pas dans l'aventure. Tu m'as dit à la mer, sur les plages de la mer du Nord, à vivre l'aventure de l'amitié sans avoir mes signaux de détresse. Tu dois mentir. Tu dois jeter les pierres de ces mots. La mer et les mensonges vont et viennent conscients de ne faire que leur propre chemin. Bruxelles avait elle, pris le rendez-vous et cela a peut être suffit pour cette fois ... Peut être pas vraiment, mais il faut se contenter de ce qui ne vous repousse pas, de ce qui vous accepte et livre quelque chose. Ce jour là il y avait un goût amer, et pourtant j'ai cru voir passer quelque chose de magique.

Les phares de la nuit éblouissent les obscurités qui nous composent. Cet écran ravive les murs qui m'entourent, est ce une prison dans laquelle la sortie ressemble à une façade de lumière ? Est ce qu'on écrit vraiment pour dire ou est ce qu'on joue à dire pour écrire quelque chose ? Tu entends, surprends, regardes mais est ce que tu vois à travers les sens ? Le regard n'est pas le seul temoin des faits, les empreintes de l'impact sont là aussi comme signe de la vie. Est ce que c'est de la vie qui se décompose lorsqu'on compose ses mots sur le claviers ? Comme la boîte aux merveilles, penché pour voir et recevoir c'est le dernier fil d'un échange entre un voyageur emancipé et un sédentaire durable sur le sable du temps. Ni l'un ni l'autre ne recouvrent leur sens, ils compensent en attendant d'avoir un nouveau jour à conquérir. Est ce que ce sont les jours qui nous aspirent ou nous qui les consumons comme une ressource inépuisable ? Tes jours avancent et tu recules. L'autre aurait plutôt dit, les jours s'en vont je demeure. Dans son bus au milieu des briques de la ville, le sédentaire compose son voyage, compose son histoire ... ce sont des morceaux, des messages électroniques entre son cerveau et son cerveau. Mais puisqu'on est cerné d'ondes, de bras de satellites, est ce que nous n'envoyons pas nos compositions par nos propres ondes ? Est ce qu'il a entendu ses mots ? Le message est passé ou parti ou perdu dans une immense corbeille de chimères, d'imaginaires sortis d'une fulgurance et noyés dans son néant. Les voyages forment la jeunesses. L'immobile forme la détresse. Est ce qu'on aspire à aller, devenir quand des lianes nous enserrent, tiennent et détiennent ? Des lianes qui ne se nomment pas, elles s'invitent sans scrupule ... peur, condition, habitude, contre ordre, décevoir. La vie qu'on se fait nous fait défaut. Et la vie n'a de faux que ce qu'on défait. Et si, si la faute retombe sur ses non-faits qu'on se fonde, faut pas s'étonner d'avoir le goût des défaites en guise de ferveur. Fabriquer quelque chose dans l'imaginaire c'est déjà y croire un peu, vouloir un peu, pouvoir un peu ... les pas se franchissent seulement dans le monde, sur la terre ... on ne peut composer quelque chose sans avoir l'intention de l'ouvrir au monde. Montrer, démontrer, assurer son ascension ailleurs que derrière la vitre du bus qui raconte une histoire dont personne n'entend la raison. Courir sous la pluie, aspirer la vie parce qu'on construit les heures qui viennent en face, chaque jour on écrit l'histoire, on est narrateur et auteur, chaque jour est la péripétie d'une épopée débutée par un premier cri. Si dans les silences ton cri est perdu, c'est que tu n'as pas su l'entendre depuis le début dans chaque moment, dans chaque périple, chaque heures passées ... le premier cri est le seul dont l'écho perdure jusqu'au dernier souffle. De souffle en cri. Mais ce n'est qu'une composition de la grande composition, on est plus multiple que linéaire, une personne plus plurielle que singulière. Et dans le grand chapeau où tous les papiers se confondent, il y a des lumières, des couleurs qui allument l'esprit, la spontanéité, qui poussent l'être. Les phares de la nuit ne sont pas du côté que l'on pense, les phares de la nuit ne s'arrêtent pas, ils consomment une flamme, une étincelle dont ils font une composition, une intelligence qui lutte contre ce qui est le cheminement. Pas narrateur corrompu, pas personnage abattu, créateur absolu. On se crée pour se transformer, on ne perd que ce qui devient autre chose sur la voie de secours, le reste est une composition toujours ..  sur laquelle on appose son destin en guise de projection, c'est ton histoire que tu diffuses sur les écrans d'autres vies.

gros (gros gros gros) coup de coeur pour les illustrations de Brecht Evens, auteur de bande dessinée belge













😍 trop trop trop beaux

Nulie xIl y a 6 ans

Popopo Churinga est dans la place ! ✌
En vrai, tu ralentis la cadence juste pour écrire d'un coup un pavé en fait ? Enfin soit ... l'important c'est que tu écrives hein tu vois ce que je veux dire !
La prochaine fois, faudra te regarder écrire lors d'une nuit blanche, tu sais l'empreinte de nos lumières ... ça doit se constater derrière ça je pense. Merci pour ta lumière cher petit Churinga sauvage !

Ça t'aurait évité de t'ennuyer !


https://www.youtube.com/watch?v=jNiP73qCNT8

<3
In un mondo che
Dans un monde qui
Non ci vuole più
Ne veut plus de nous
Il mio canto libero sei tu
Mon chant libre c'est toi
E l'immensità
Et l'immensité
Si apre intorno a noi
S'ouvre autour de nous
Al di là del limite degli occhi tuoi
Au delà de la limite de tes yeux
Nasce il sentimento
Naît le sentiment
Nasce in mezzo al pianto
Naît au milieu des pleurs
E s'innalza altissimo e va
Et s'élève très haut et s'en va
E vola sulle accuse della gente
Et survole les accusations des gens
A tutti i suoi retaggi indifferente
Indifférent à tous leurs héritages
Sorretto da un anelito d'amore
Soutenu par un halètement d'amour
Di vero amore
De vrai amour

(ritornello)
(Refrain)
In un mondo che (Pietre un giorno case)
Dans un monde qui (des pierres qui ont été un jour des maisons )
Prigioniero è (ricoperte dalle rose selvatiche)
Est emprisonné ( recouvertes par les roses sauvages)
Respiriamo liberi io e te ( rivivono ci chiamano)
Moi et toi on respire libres (revivent, nous appellent)
E la verità ( Boschi abbandonati)
C'est la vérité (les bois abandonnés)
Si offre nuda a noi ( perciò sopravvissuti vergini)
S'offrent nues à nous (qui sont donc restés vierges)
E limpida è l'immagine – (si aprono)
Et l'image est limpide (s'ouvrent)
Ormai ( ci abbracciano)
Désormais (nous embrassent)

Nuove sensazioni
Nouvelles sensations
Giovani emozioni
Jeunes émotions
Si esprimono purissime
S'expriment très pures
In noi
A l'intérieur de nous
La veste dei fantasmi del passato
Le vêtement des fantômes du passé
Cadendo lascia il quadro immacolato
En tombant laisse le cadre immaculé
E s'alza un vento tiepido d'amore
Et se lève un tiède vent d'amour
Di vero amore
De vrai amour
E riscopro te
Et je te redécouvre

Dolce compagna che
Douce compagne qui
Non sai domandare ma sai
Tu ne sais pas demander, mais tu sais
Che ovunque andrai
Que n'importe où tu iras
Al fianco tuo mi avrai
Tu me trouveras à tes cotés
Se tu lo vuoi
Si tu le veux

Pietre un giorno case
Pierres qui furent un jour des maisons
Ricoperte dalle rose selvatiche
Recouvertes par les roses sauvages
Rivivono
Revivent,
Ci chiamano
Nous appellent
Boschi abbandonati
Les bois abandonnés
E perciò sopravvissuti vergini
Et qui sont donc restés vierges
Si aprono
S'ouvrent
Ci abbracciano
Nous embrassent

+++ Martin Fourcade, ce héros !

Très jolie lettre Blat ! Elle me parle aussi sur certains points, merci du partage

( T'as pas besoin de ces trucs pour être et faire.)

Pierrot

Je sais pas si tu vois
Je sais pas si les passants
Je sais pas si j'ai une voix
Ou même si je m'entends
J'ai trotté le tour du monde
Comme si je te fuyais
A l'ombre de ton onde
Je crois que je te cherchais
J'ai vécu des galère
Des rêves éveillés
Joué la provoc' des misères
Et l'aurore des gaités
Vagabond volontaire
J'ai pas pris mon ticket
Marcheur de la pierre
Quête de la fille de mai
Je sais pas si j't'ai eu
T'es parti droit devant
J'ai perdu la longue vue
Et suivi le bruit du vent
De la ville rosée
A la Manche crasse
Des ponts brisés
A la terre allemande en masse
Est ce que t'étais là ?
Est ce que tu t'es tu ?
T'étais déjà moi
T'étais venu
Comment sont les histoires
T'as la gueule du loup
J'étais pas de ceux du soir
J'ai pris mes jambes à mon cou
J'ai vidé mon sac
Sur des lits d'aléas
Le coeur bien en vraque
Après les combats
Est ce qu'on se côtoie ?
Dans l'ombre de mon ombre
Es tu déjà là?
Le ciel est si sombre
Et je veille la lune
Et je veille mon sommeil
Une heure à chacune
Je veille, je veille
Est ce le rond dans l'eau ?
Est ce le nomade ?
Est ce que c'est toi Pierrot ?
Toute cette mascarade
Y a erreur de masque
D'arme aiguisée
Enlève moi ton masque
Pierrot t'as fumé
Je suis pas toi
Arrête de rêver !
J'ai pas besoin de ça
Tu me prends pour Zoro
Mais je suis pas d'ici
Je suis pas ton héros
C'est toi mon moi de nuit
Je prends la route
2 pieds et 6 pattes
J'ai laissé les doutes
J'me carapate
Je detale à l'aurore
Quand t'es le gars de minuit
Quand tu te crois mort
Moi je revis
Pierrot, Pierrot dis moi
Est ce qu't'as pris le chemin ?
Est-ce que c'est toi
Qui me conçu gamin
On s'est peut être jamais vu
Côte à côte miroir
Côte à côte disparu
T'étais dans le noir
L'ami imaginaire
L'instinct de survie
Quand j'étais solitaire
La défense de la nuit
Quand j'avais à peine l'âge
Quand j'étais qu'un petit
Baigné de belles images
T'es mon fantôme
Mon filigrane d'enfance
La vie d'un mome
Qui quitte l'adolescence
Allo le satellite
Je t'envoie ma poésie
Mon esprit sans faillite
Est un fond sans puits
J'écris à la terre
J'écris par morceaux
De ma tête les vers
Fixent le credo
J'avais mille ans à peine
Des restes de vies
J'avais déjà la peine
De La vie que je vis
Éclatante, sauvage
Déroutant péril
Percutants paysages
Sur la route de la ville
Je regarde un voyage 
Dans chaque passant
Dans chaque partage
C'est la vie pleinement
Est-ce toi le guide Pierrot ?
Est-ce toi l'aventure ?
Je et Pierrot
Dans une seule structure
Qu'importe mon nom
Faut jouer le jeu
Tant qu'il y a la chanson
J'ai envie d'être heureux
La route est belle
La route est pleine
La route est celle
Qui rend les maisons vaines
Je regarde mon ombre
La lune passe à travers
Elle sort des décombres
Elle teint ma lumière
Pierrot raccompagne moi
J'ai fini tes vers
Je mets plus les pieds droits
La tête à l'envers
T'as pris le pouvoir
Tu manges mon cerveau
Mais t'es espoir
T'es moi en plus beau
Allez assis toi là
Attrape un bout de crayon
Puis prends du papier
J'te finis ma chanson
J'me fais pas prier
On va pas se mentir
Puisque tu me connais
Qu'est-ce j'ai à te dire ?
Nous deux à jamais
Le ciel se réveille
J'ai des sueurs froides
Tu t'es mis en veille
Putain je m'évade.

L'immobilisme.

+++ du soleil un peu froid mais du soleil
+++ du boulot !

Nulie xIl y a 6 ans

Churinga je te kiffe !

Voici notre troisième portrait de culture ! Après deux métiers culturels, nous partons cette fois un peu plus vers le côté artistique ... rencontre avec une jeune comédienne pleine de ressources pour parler Théâtre !

https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/03/07/portrait-de-culture-3-moi-comedienne-mais-pas-que/

---- déception ... Un poste top pour lequel je n'ai pas été retenu. 3 entretiens, 3 rien mais c'était surtout celui ci qui me tenait à coeur.
+- il reste une réponse en attente on croise les doigts

J'ai fini 13 reasons Why y'a 2 jours et j'ai du mal à m'en remettre.
c'est effectivement un peu teenage au debut mais c'est aussi pour les besoins de la narration je pense, ca s'estompe par la suite.
Le concept est plutôt prenant et pas mal fait du tout. Mais oui âmes sensibles s'abstenir parce que y'a effectivement une ou deux scènes plutôt perturbantes...


Exactement le même ressenti. J'ai commencé cette série avec un peu de recul, si bien que je n'avais pas vraiment d'opinion sur les 2, 3 premiers épisodes ... mais après je me suis embarquée dedans et j'ai eu cette même sensation de "pas m'en remettre" en ayant le générique de fin du dernier épisode tout à l'heure. C'est ... pouah.

Un peu de musique en ce début de mois. Après une playlist des lieux dans la chanson française, aujourd'hui c'est un thème un peu du même ordre ... les prénoms !

Bonne écoute ! 🎶

https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/03/02/musique-quest-ce-quon-ecoute-4/